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Balanchine - Brown - Bausch, ONP, 10/12-31/12 2010
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Jonquille



Inscrit le: 22 Avr 2005
Messages: 1796

MessagePosté le: Jeu Déc 09, 2010 12:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Vendredi il faudra choisir entre le Lac des cygnes avec Christophe Duquenne et Ludmila Pagliero, et la soirée "BBB"...


Oui, on se demande où sera Brigitte Lefèvre...


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haydn
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Messages: 26517

MessagePosté le: Jeu Déc 09, 2010 1:00 am    Sujet du message: Répondre en citant

Dans un taxi, entre Garnier et Bastille... Mr. Green


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serge1 paris



Inscrit le: 06 Jan 2008
Messages: 877

MessagePosté le: Sam Déc 11, 2010 5:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il semblerait que je sois le seul à ne pas avoir été attiré par le miroir aux alouettes du Lac et à être resté fidèle à Pina Bausch !

Enfin, Brigitte Lefebvre était là aussi...

Toujours un peu sous le choc au sujet de l'absence d'Hervé Moreau, mais Mathieu Ganio a repris le flambeau sans faiblir dans Apollo.

L'ésotérique Trisha Brown continue à me séduire. Elle ne semble plus avoir de contestataires...et Claire Marie Osta est absolument parfaite dans ce ballet.

En ce concerne le plat de résistance, le Sacre du Printemps de Pina Bausch conserve comme jamais son incroyable impact.

Je dois bien avoir vu cinq ou six fois cette chorégraphie depuis le Théatre de la Ville et je la reçois à chaque fois comme quelque chose de complètement nouveau ou plutôt comme quelque chose qui touche à l'Eternel .

La représentation qui me reste le plus en mémoire est une des dernières apparitions publiques de Pina Bausch qui avait dansé Café Muller en première partie au Liceo de Barcelone.

Les danseurs de l'Opéra parviennent remarquablement à adopter le langage chorégraphique de Pina Bausch, particulièrement le groupe de femmes qui a jeté aux orties son côté glamour "Opéra de Paris".

Là, où la troupe de Pina Bausch est un peu irremplaçable, c'est dans sa délirante diversité physique et sa capacité à représenter le monde. Les danseurs de l'Opéra sont irrémédiablement plus formatés mais la chorégraphie garde sa puissance et Miteki Kudo est probablement celle qui ressemble le plus à une danseuse de Pina avec toutes les vibrations requises...


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sophia



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Messages: 22087

MessagePosté le: Sam Déc 11, 2010 8:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

On dirait que le photographe de presse n'est venu que pour Le Sacre.


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marlyd



Inscrit le: 12 Déc 2007
Messages: 132

MessagePosté le: Lun Déc 13, 2010 8:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour information, il semble qu'il y ait à ce moment quelques places de première et seconde catégorie pour mardi 14 décembre, sur le site de l'Opéra


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Pierre



Inscrit le: 31 Déc 2003
Messages: 982
Localisation: Paris

MessagePosté le: Lun Déc 13, 2010 11:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Allons-y d'un petit couplet pour chanter les louanges tout d'abord de l'orchestre de l'ONP. Sous la direction de Philippe Jordan dans le Tryptique, sous celle de Christoph Eschenbach dans Mathis ou sous la baguette de Vello Pähn dans les Stravinsky, cet ensemble nous transporte au septième ciel.

Trois oeuvres très poignantes portées par de très grands artistes. Je commence à comprendre la subtile beauté de Balanchine...


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bwv582



Inscrit le: 25 Juin 2005
Messages: 40
Localisation: Strasbourg

MessagePosté le: Mar Déc 14, 2010 1:24 am    Sujet du message: Répondre en citant

En fait, il y a deux formations orchestrales différentes dans la fosse suivant les représentations... et elles ne sont pas équivalentes ! Samedi l'harmonie était meilleure (dimanche il y eu de nombreux "couacs" arrachant quelques sourires inopportuns aux musiciens) alors que j'ai préféré les cordes de dimanche, plus "nettes" en particulier dans le Sacre.

Pour ce qui est de la danse, les deux interprétations du Sacre étaient très différentes, tant par l'Elue (M. Kudo samedi, E. Abbagnato dimanche) que dans la mise en avant de certain(e)s danseur(se)s du "corps" de ballet. Je n'ai pas de préférence entre les deux Elues car elles ne racontent pas la même chose et que les deux ont quelque chose à dire. Ce ballet a été un choc en 1997, et demeure un sommet de l'art chorégraphique à mes yeux ; la partition y est pour beaucoup.

La pièce de Brown ne me captive pas outre mesure, malgré la superbe interprétation de C. Osta, N. Le Riche et J. Hoffalt.

Quant à Apollon, je préfère très nettement la version de dimanche avec M. Ganio, même si les adieux de L. Hilaire dans ce ballet rende sa vision un peu "difficile" pour ne pas entacher les souvenirs.


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LucyOnTheMoon



Inscrit le: 18 Nov 2008
Messages: 984

MessagePosté le: Mer Déc 15, 2010 12:23 am    Sujet du message: Répondre en citant

La critique de Gérard Mannoni sur Altamusica
http://www.altamusica.com/danse/document.php?action=MoreDocument&DocRef=4508&DossierRef=4097


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LucyOnTheMoon



Inscrit le: 18 Nov 2008
Messages: 984

MessagePosté le: Mer Déc 15, 2010 12:46 am    Sujet du message: Répondre en citant

N'ayant eu de visibilité que sur une moitié de scène (côté jardin) avant entracte, je ne me risquerai pas trop aux commentaires sur les deux premiers ballets. Mais j'ai quand même eu un grand plaisir à voir (par instants fugitifs) Apollon-Le Riche s'amuser comme un gamin et porter autant d'attention à ses gracieuses partenaires... un peu dommage pour la glissade, mais ça n'a pas terni l'ensemble.
Qu'il me soit permis de remercier l'ouvreuse qui a eu pitié de mon vertige (je suis définitivement vaccinée contre les "4emes loges") et m'a permis de suivre Le Sacre d'un peu plus bas et - ô mircacle - d'un point où l'on voyait toute la scène si on s'abstenait de s'asseoir. Et qu'il me soit permis de redire toute mon admiration pour la phénoménale présence scénique de Wilfried Romoli qui, s'il saute un peu moins haut et s'est un peu épaissi, n'a rien perdu de son magnétisme. Je ne connais pas d'autre danseur capable d'exprimer autant de choses avec un visage aussi neutre. Il y a dans son personnage quelque chose d'Hannibal Lecter et on se demande à chaque instant quand il va bondir sur sa proie pour la dévorer toute crue. Le "corps de ballet" (mais j'aimerais mieux ici parler de corps tout court) est juste magnifique. Entendre leur respiration commune devenir un élément à part entière de la partition musicale est très impressionnant. Je dois m'avouer un peu déçue par la prestation d'Abbagnato, un peu moins crédible en Elue sacrifiée qu'en Mort assassine il y a peu chez Roland Petit. Ca reste néanmoins très, très fort.
(et pour les fans de la sicilienne, une "bonne nouvelle" à paraître la semaine prochaine dans Vanity Fair mais dévoilée ce jour dans la presse italienne : http://www.corrieredellosport.it/serie_a/palermo/2010/12/14-144665/Balzaretti-Abbagnato,+nozze+in+vista+a+Palermo. Je signale aussi ce site qui dit la même chose mais qui en prime propose deux-trois belles photos de celle que les Italiens ont toujours qualifiée d'Etoile : http://palermo.repubblica.it/sport/2010/12/14/foto/fiori_d_arancio_in_vista_per_balzaretti_e_la_abbagnato-10206096/1/)


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haydn
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Messages: 26517

MessagePosté le: Mer Déc 15, 2010 1:56 am    Sujet du message: Répondre en citant

A mon tour de parler de ce spectacle, que je voyais "officiellement" pour la première fois ce soir (j'ai assisté à la générale, mais comme je me suis fait une règle absolue de ne jamais critiquer une répétition...) pour cause de concomitance avec le Lac des cygnes.

La soirée s'ouvrait sur le célèbre Apollon de George Balanchine, créé à Paris en 1927 et entré vingt ans plus tard au répertoire de notre compagnie nationale.

Si l'on excepte une chute malheureuse dans un mouvement qui a priori ne présentait pas de risque particulier, Nicolas Le Riche s'est imposé sans discussion dans ce rôle qui met en valeur la plastique de l'interprète. Ce serait cependant faire injure à M. Le Riche que de dire qu'il s'est contenté d'être beau. C'est un danseur expressif, qui, ici, tient parfaitement son rang d'Etoile : il en impose par sa présence, sa gestuelle ample, mêlant habilement le caractère noble et les traits agrestes du dieu-musicien qu'il incarne. Et c'est avec la plus grande délicatesse et un goût sûr qu'il manie la cithare, là ou d'autres confondent parfois sérénade galante et concert de hard-rock, tant pis pour l'anachronisme. Comme Agnès Letestu (Terpsichore), Nicolas Le Riche sait pimenter son Balanchine de cette indispensable touche d'humour qui permet d'éviter de sombrer dans l'ennui et la routine.

On sait que Balanchine réalisa deux versions d'Apollon. La première, destinée à la France, et qui demeura longtemps la seule à l'affiche de l'Opéra de Paris, portait le titre d'Apollon musagète. Très néo-classicisante, la chorégraphie originelle est d'une esthétique toute "lifarienne" (à moins que ce ne soit Lifar qui ait été balanchinien) ; puis, en 1937, Apollon traversa l'Atlantique, pour devenir, un demi-siècle plus tard, Apollo, se parant de quelques déhanchés plus hollywoodiens.

Aurélia Bellet (Calliope) et Ludmila Pagliero (Polymnie) illustrent bien ces deux facettes de l'ouvrage. Ironie du sort, c'est Ludmila Pagliero, formée en Amérique latine et à New York, qui s'avère la plus "française", arborant une technique très propre et ce style quelque peu compassé, distant, caractéristique de l'Opéra de Paris. On pourra même lui reprocher une retenue un peu trop grande. A l'opposé, Aurélia Bellet fait montre d'un pep's tout américain ; sa danse, certes un peu moins précise, est vive, enjouée, bondissante, et déborde de cet enthousiasme primesautier qui caractérise le cinéma américain des années 1930. Un antidépresseur efficace, et qui ne ruinera pas la Sécurité Sociale.

Changement d'ambiance brutal avec O złożony / O composite, douloureux pensum "New Age" signé Trisha Brown, devant lequel tout cultureux branchouille se doit de s'esbaudir. C'est tellement chic, ces poèmes susurrés en polonais par une voix de femme-enfant, et dont on ne comprend que le seul mot qu'il faille retenir pour briller ensuite en société : PTAKA (l'Oiseau). Rha, lovely & pâmoison. Isabelle Ciaravola, de sa beauté filigrane, fait ce qu'elle peut pour donner consistance à la chorégraphie, mais le seul à tirer véritablement son épingle du jeu est Vincent Chaillet. Familier du répertoire contemporain et des créations à risques, M. Chaillet, par des mouvements amples, bien réfléchis, parvient à donner un sens, une direction, une force même à l'ouvrage de Trisha Brown, qui en manque pourtant singulièrement. Josua Hoffalt demeure, lui, trop attentif à la réalisation méticuleuse des pas, et n'arrive pas vraiment à s'imposer dans un ouvrage trop étranger à son style classique et noble. Que ne l'a-t-on distribué en Siegfried...

Le "clou" de la soirée "BBB" était évidemment le Sacre du Printemps, dont c'était la première reprise depuis la disparition de Pina Bausch. Les danseurs de l'Opéra de Paris ont été, et sont toujours très à l'aise dans cette chorégraphie-culte, créée en 1975 et entrée au répertoire de la troupe en 1997. Tout le corps de ballet se dépense sans compter. Eleonora Abbagnato est une Elue survoltée, qui rend à la perfection toute la violence de la musique. Avec raison, elle ne s'embarrasse pas de fioriture, et laisse éclater toute la brutalité, toute la sauvagerie de la formidable partition de Stravinsky. Ses comparses ne sont pas en reste, avec notamment les impressionnantes Christelle Granier, Alice Renavand, Miteki Kudo ou Géraldine Wiart. On signalera aussi les débuts réussis de la jeune Letizia Galloni, qui, sauf erreur de notre part, remplaçait Caroline Robert mentionnée sur la feuille de distribution.


L'orchestre de l'Opéra de Paris possède une légitimité particulière à interpréter le Sacre du Printemps, dans la mesure où c'est l'un de ses chefs, Pierre Monteux, qui en dirigea la création le 29 mai 1913 au Théâtre des Champs-Elysées. En 2010, la baguette de Vello Pähn est précise, les coloris instrumentaux chatoyants (de très beaux bois), mais l'interprétation, au contraire de la danse, est un peu trop policée, là ou l'on aurait aimé des sonorités plus âpres, une rythmique plus heurtée.

Auparavant, dans Apollon, les cordes s'étaient illustrées en surmontant avec une justesse impeccable les difficultés de cette autre partition fameuse de Stravinsky ; seule la direction manquait d'ampleur et de liant (tout le contraire du Sacre) dans la construction du phrasé.


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LucyOnTheMoon



Inscrit le: 18 Nov 2008
Messages: 984

MessagePosté le: Mer Déc 15, 2010 5:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Interview de Wilfried Romoli sur France Info, à propos de la reprise du Sacre à l'ONP. Beau témoignage sur le travail de Pina avec ses danseurs... (ne pas se fier à l'intitulé du lien, qui concerne le début de l'enregistrement : la danse n'arrive qu'un peu après la mi-bande...)
http://www.france-info.com/chroniques-france-info-culture-2010-12-15-rencontre-avec-nicole-garcia-pour-un-balcon-sur-la-mer-503603-81-336.html


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marc



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MessagePosté le: Jeu Déc 16, 2010 1:15 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je n'ai pas énormément accroché ce soir avec "Apollon". J'ai trouvé cela un peu froid, un peu compassé, et terriblement "exercice de style". Et Dieu que la musique de Stravinsky y est ennuyeuse ! On a l'impression qu'après le séisme qu'avait été son génial "Sacre du Printemps", il avait voulu se faire pardonner le scandale en se faisant le plus impersonnel possible dans cette pièce.

J'ai été surpris par "O Composite", par cette voix étrange qui m'a saisi au début, et par une chorégraphie "suspendue", en apesanteur, comme si les danseurs ralentissaient leurs mouvements pour écouter eux mêmes les méandres mélodiques de ce chant polonais. Mais rapidement l'impression ne s'est pas renouvelée, j'ai eu le sentiment de redites, de répétitions. Et puis, j'ai fini par trouver qu'il manquait quelque chose d'important à la chorégraphie par rapport à la chaleur de la voix : la sensualité.

Le "Sacre du Printemps" a été formidable ! Il m'a saisi, il m'a pris, il m'a lessivé, essoré. L'implication du corps de ballet était magnifique, ainsi que l'Elue, Eleonora Abbagnato. Cependant, j'ai eu l'impression d'assister plus à une pièce de théâtre engagé qu'à un spectacle de danse à proprement parler. Ca m'a fait penser à une réponse de Maurice Béjart à un journaliste qui lui avait demandé de caractériser son ballet sur la neuvième symphonie de Beethoven. Béjart avait répondu : "C'est une manif !" Et bien c'est un peu cela, ce soir, avec le "Sacre du Printemps" de Pina Bausch, j'ai eu un peu l'impression de participer à une manif. Mais ce n'est pas une critique, manif ou pas, ce fut un beau voyage.

Quant à la danse pure et "avant toute chose", pour moi, ce sera en janvier prochain avec le "Lac des Cygnes".


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haydn
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Messages: 26517

MessagePosté le: Jeu Déc 16, 2010 1:20 am    Sujet du message: Répondre en citant

Heu désolé de vous contredire, Marc, mais les blondes vous ont tourné la tête... l'Elue, ce soir (15/12/2010) était Géraldine Wiart (même si Eleonora Abbagnato dansait effectivement dans le "corps de ballet")...


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marc



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Messages: 1157

MessagePosté le: Jeu Déc 16, 2010 1:27 am    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
Heu désolé de vous contredire, Marc, mais les blondes vous ont tourné la tête... l'Elue, ce soir (15/12/2010) était Géraldine Wiart (même si Eleonora Abbagnato dansait effectivement dans le "corps de ballet")...


Je suis infiniment désolé de cette méprise ! Je ne la rectifierai pas dans mon texte d'origine pour porter, comme il se doit, le poids de cette bévue !


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Déc 16, 2010 1:31 am    Sujet du message: Répondre en citant

Non Marc, les flagellants sont passés de mode, depuis le XIVème siècle... et en plus, dans dix jours, c'est la Nativité, pas la Passion...


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