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Prix de Lausanne 2012 (29 janvier - 4 février 2012)
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lalouveblanche



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MessagePosté le: Lun Fév 13, 2012 6:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bernard45 a écrit:
Pas de français certes, mais pas de russes non plus.
Les deux nations historiques de la danse classique sont absentes.

Je pense que le festival de Lausanne permet de donner leur chance à de jeunes danseurs issus de pays où la danse classique est en pleine progression, mais qui auraient du mal à se frayer un chemin sans Lausanne.

Les jeunes de l'ONP ou du Bolchoï n'ont pas besoin d'un tel tremplin.

Juste un mot sur les vidéos proposées par le festival : c'est du très grand art. Cela nous change des tas de vidéos qu'on trouve sur YT et filmées n'importe comment. Félicitations à tous ceux qui les réalisent !


J'ai quelques questions à ce sujet :
je suppose qu'il existe des auditions pour des danseurs extérieurs à l'Ecole de danse de l'Opéra de Paris afin d'intégrer le ballet, mais sont-ils nombreux à être admis?
ensuite, comment font certains danseurs qui peuvent entrer à l'école de l'opéra de paris sans avoir passé l'audition à 10 ou 11 ans? C'est parce qu'ils ont gagné un 1° prix dans un conservatoire régional? (je crois que l'exemple c'est Laetitia Pujol???) si oui, ce 1° prix de conservatoire n'est donc pas un prix de fin d'étude, mais un prix au cours des études, sinon, ça veut dire que le cursus en conservatoire finit plus tôt que celui de l'Opéra de Paris????

Une dernière question, vous parliez de la Russie, le Bolchoi a son école, Vaganova est privée, le Kirov a-t-il son école, puisque c'est un théâtre national?

voila pour les questions.... Cool

j'ai adoré regardé la finale et toutes les videos du vidéoblog, ça fait plaisir de voir autant de gens aimer la danse, et après, on a vraiment du mal a comprendre que le classique soit encore considéré comme "ringard"!!!!! Laughing


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haydn
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Messages: 26513

MessagePosté le: Lun Fév 13, 2012 6:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il y a souvent un ou deux élèves de l'extérieur qui parviennent à intégrer le corps de ballet sans être passés par l'Ecole de danse de l'ONP. Leur nombre est cependant d'autant plus restreint que les places proposées pour les élèves de l'Ecole sont elles aussi offertes de manières très parcimonieuse. La situation devrait commencer à s’améliorer un peu, vu qu'il y aura pas mal de départs à la retraite au cours des prochaines années (conséquence lointaine des recrutements massifs à l’époque de Nouréev).

L'Ecole de danse peut admettre en dernière année des élèves payants, elle acceptait aussi quelques lauréats du Prix de Lausanne (Laetitia Pujol justement, José Martinez), voire sur audition des élèves de plein droit.

L'Ecole Vaganova est l'école associée au Mariinsky (Kirov), et c'est une école publique, tout comme celle du Bolchoï.



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sophia



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MessagePosté le: Lun Fév 13, 2012 6:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Laetitia Pujol et José Martinez ont intégré (en dernière année, je crois) l'Ecole de danse de l'ONP après avoir remporté le Prix de Lausanne, car, à leur époque, il existait encore un partenariat entre l'ONP et Lausanne, ce qui n'est plus le cas maintenant.

Vaganova n'est pas une école privée. C'est une école publique pour les enfants russes (elle accepte des élèves payants étrangers). Son nom complet, du reste, c'est "Académie de Ballet Russe (ARB) du nom d'Agrippina Vaganova" (son nom a été ajouté après sa mort dans les années 50). Elle est, si l'on veut, l'école destinée à former les futurs danseurs du Mariinsky (ex Kirov), mais tous les élèves de cette école ne sont pas pour autant engagés au Mariinsky. Idem pour ceux de l'Académie Chorégraphique de Moscou qui ne sont pas tous pris au Bolchoï.


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lalouveblanche



Inscrit le: 30 Oct 2005
Messages: 466

MessagePosté le: Lun Fév 13, 2012 6:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

D'accord, donc grosse erreur sur vaganova de ma part!!!! Very Happy

Et donc, pour les 1° prix de conservatoire, c'est indépendant, ça ne leur donne pas plus accès à une éventuelle audition à l'ecole de l'opéra de paris?


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haydn
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Messages: 26513

MessagePosté le: Lun Fév 13, 2012 10:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

En images : Finale, samedi 4 février 2012


Remise des prix
























































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haydn
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MessagePosté le: Mar Fév 14, 2012 1:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ceux qui ne sont pas accros aux sites de micro-blogging, petite rétrospective du Prix de Lausanne 2012 en 116 "Twitpics" :



























































































































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PAVLOVA



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MessagePosté le: Mar Fév 14, 2012 4:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Un grand merci pour ces beaux reportages Laughing


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Aurélie



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MessagePosté le: Mar Fév 14, 2012 9:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les commentaires photos sont très drôles!


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sophia



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MessagePosté le: Mer Fév 15, 2012 7:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Prix de Lausanne - Jour 7 (gala du 40e anniversaire)

En 1972, un industriel suisse, Philippe Braunschweig, imaginait, avec sa femme Elvire, elle-même ancienne ballerine, un concours d'un nouveau genre, destiné aux jeunes danseurs professionnels âgés de 15 à 18 ans. Fort du soutien conjugué de Rosella Hightower, de Maurice Béjart et de la Royal Ballet School, le premier Prix de Lausanne voyait le jour en janvier 1973. En ces temps de Guerre Froide, cette compétition cherchait à se démarquer ouvertement des compétitions héroïques « à la soviétique », visant avant tout la conquête des podiums et l'obtention de médailles. Aujourd'hui, le Prix de Lausanne est toujours là, brillant plus que jamais au firmament des concours internationaux, rendez-vous obligé du monde de la danse durant les frimas de janvier. Si le Prix a beaucoup évolué depuis sa création, son principe originel s'est toutefois maintenu : révéler des potentiels et récompenser de jeunes talents en leur permettant de parfaire leur formation grâce à des bourses d'études.

On dira ce qu'on voudra, mais la liste éloquente de ses lauréats au fil de quatre décennies de compétitions suffit à témoigner à elle seule de la réussite de l'entreprise. Quarante ans après sa création, la cause valait bien d'être célébrée par un grand gala-anniversaire - avec spectacle, dîner et tout et tout -, lequel était destiné au passage à récolter des fonds auprès des mécènes, sans qui le Prix, sous sa forme initiale, ne saurait perdurer. Au parterre de mécènes réunis pour l'occasion s'était associée, en toute simplicité, Caroline de Monaco, princesse de Hanovre - toujours bon à prendre pour le retentissement médiatique... Il faut dire que la présidence du jury du 40e anniversaire, assurée par Jean-Christophe Maillot, directeur des Ballets de Monte-Carlo, a bien dû aider en ce sens. Les invités du spectacle étaient quant à eux tout trouvés : les anciens lauréats eux-mêmes – une petite sélection d'entre eux tout au moins.

Le gala, donc...

Si, du côté de la salle, le clinquant était forcément au rendez-vous (même si, franchement, dans le genre, on a vu pire...), du côté de la scène, la sobriété et l'élégance dominaient - un peu trop parfois peut-être. Aucune faute de goût n'était à déplorer, tant chez les interprètes que dans le choix des éclairages – on est à Lausanne, pas au YAGP, que diable! -, mais en retour, un certain manque de piment plombait l'ensemble, notamment dans les pas de deux les plus éculés - Corsaire ou Don Quichotte – c'est qu'avec ceux-là, on a le droit d'être exigeant... En alternance avec ces morceaux de bravoure, le programme offrait un bon nombre de pièces rares, et parfois bienvenues, en l'occurrence des duos néo-classiques, pas tous excitants au même degré, mais d'une belle tenue dans l'ensemble - l'excellence générale des interprètes y contribuait aussi grandement.

Les danseurs du Royal Ballet, venus en nombre, avaient eu la bonne idée de présenter des pièces typiquement anglaises, signées Frederick Ashton – pour le passé - ou Alastair Marriott – pour le présent. Les deux adages d'Ashton, malheureusement, brillaient surtout par leur ennui diffus – et les danseurs n'y pouvaient pas grand-chose. Dans Rhapsody, qui ouvrait le gala, Federico Bonelli et Hikaru Kobayashi étaient pourtant impeccables – on sentait d'emblée tout l'air d'une grande compagnie flotter au-dessus d'eux. Dans le pas de deux de Thaïs (rien à voir avec celui de Roland Petit, quoiqu'il ne le rachète pas en mièvrerie), Yuhui Choe et Ryoichi Hirano, moins dans le style, m'ont semblé en revanche manquer singulièrement de lyrisme. Au final - même si l'on n'est pas sûre d'avoir envie d'en voir davantage -, l'extrait de Sensorium d'Alastair Mariott, dans une veine néo-macgregorienne (est-ce vraiment possible?) m'a davantage touchée, grâce à l'implication des danseurs Tom Whitehead et Leanne Benjamin, tous deux magnifiques. Lauréate en... 1981 (faites le calcul approximatif ...) – on peine à le croire – Leanne Benjamin (déjà présente à Lausanne il y a deux ans avec Edward Watson lors de l'intermède de la finale) avait plus qu'une autre sa place dans ce gala pour sa longévité exceptionnelle, et nullement ridicule, tout au moins dans ce répertoire.

Pièce « maison » également pour les représentants de l'Opéra, Laetitia Pujol et Florian Magnenet, qui interprétaient le (désormais presque trop connu) duo final du Parc, étrangement mal placé entre un Corsaire plutôt lisse et le meilleur moment de la soirée, le Canon des frères Bubeníček. Cette prestation m'a laissé un sentiment assez mitigé, du fait du peu d'alchimie qui régnait entre les deux partenaires. Dans le couple, Laetitia Pujol semblait presque seule à y croire, Florian Magnenait apparaissait plus en retrait, et surtout, le clou du passage – le fameux baiser volant –, pas idéalement maîtrisé du point de vue du soutien, passait à côté de son effet tourbillonnant et irréel.

Les danseurs du Ballet de Dresde, Jiří Bubeníček et Yumiko Takeshima présentaient quant à eux une pièce de David Dawson, On the Nature of Daylight, à la chorégraphie très passe-partout, dont j'avoue franchement n'avoir pas gardé un souvenir bien précis. Dans le genre « clair-obscur néo-classique », j'ai été nettement plus impressionnée par les deux solistes, toujours très incisifs, du Ballet royal de Flandre, Aki Saito et Wim Vanlessen, qui se produisaient dans Sonate n°5 de Béjart, une vraie rareté, qui se justifiait par les liens historiques entre le chorégraphe et le Prix de Lausanne. Sans doute sont-ils loin des physiques béjartiens habituels, mais ces deux danseurs ne ressemblent vraiment à personne.

Gros succès à l'applaudimètre pour Dinu Tamazlacaru, lauréat du Prix en 2002, venu jouer les Daniil Simkin de service, dans deux pièces brillantes, le Gopak ukrainien de Fiodor Lopukhov et Les Bourgeois de Ben Van Cauwenbergh, en nette rupture avec l'ambiance impressionniste et introvertie de la soirée. Du charme, du saut, et de la technique virtuose chez ce jeune soliste de Berlin, mais l'ensemble manquait peut-être d'une certaine distance ou d'un certain piquant... De la belle danse sans doute, mais question finesse d'interprétation, on a vu mieux et dans l'un et dans l'autre.

Côté « classiques », Mizuka Ueno et Dmitri Semionov, qui formaient un couple a priori un peu étrange dans le pas de deux du Corsaire, se sont plutôt bien accordés. Le charisme des interprètes était là, conjuguée à une bonne dose d'expérience des galas chez l'un comme chez l'autre, même si pour l'émotion pure, il valait mieux passer son chemin. Le Het Nationale Ballet affichait dans le pas de deux de Don Quichotte, qui concluait le gala, un couple bien rôdé, avec Matthew Golding – le nouveau « wonder-boy » de la danse européenne, en sosie de Brad Pitt - et Anna Tsygankova, filmés il y a peu dans la version Ratmansky de ce même ballet. Ici, c'est Matthew Golding qui dominait clairement le jeu, même si, en dépit de quelques hésitations dans les fouettés finaux, l'on apprécie grandement la danse policée et élégante d'Anna Tsygankova. On reste enfin un peu circonspect quant au choix de Polina Semionova et Friedemann Vogel d'interpréter le pas de deux du balcon de Roméo et Juliette dans la version de Cranko. Outre que Semionova n'est pas une Juliette bien évidente, la chorégraphie de Cranko, plutôt statique, n'a pas exactement l'efficacité de celle d'un MacMillan, a fortiori dans un contexte de gala.

Finalement, les trois moments qui m'ont paru les plus marquants ne sont pas forcément venus de ceux que j'attendais le plus. Le gala du 40e anniversaire aura tout d'abord eu droit à « sa » création , avec un pas de deux très inspiré de Thierry Malandain (extrait d'un ballet à venir), sur une chanson médiévale envoûtante, La Fille au roi Louis. Nathalie Verspecht et Giuseppe Chiavaro, toujours aussi félin, y composent un couple particulièrement fusionnel. En termes d'interprétation, je retiendrais également le trio magistral formé par les frères Bubeníček et Jon Vallejo dans Canon en ré majeur, une pièce fort réussie de Jiří, qui m'a paru plus incisive encore que lorsque ces trois mêmes danseurs l'avaient dansé à Paris à l'occasion du gala « Hope Japan ». Enfin, surtout peut-être, Bernice Coppieters, une danseuse comme on n'en fait plus guère, un physique et une personnalité à couper le souffle, qui a littéralement transcendé, aux côtés d'Azier Uriageraka, l'étrange petit duo de Jean-Christophe Maillot, Altro Canto, qui, sans elle, m'aurait sans doute paru bien anodin.


Programme du gala du 40e anniversaire

Première partie


Rhapsody
Chorégraphie : Frederick Ashton (avec l’aimable autorisation de la Frederck Ashton Foundation)
Musique : Serge Rachmaninov
Federico Bonelli (lauréat 1996) - Hikaru Kobayashi [Royal Ballet]

Sonate n°5 (avec l’aimable autorisation de la Fondation Maurice Béjart)
Chorégraphie : Maurice Béjart
Musique : Jean-Sébastien Bach
Aki Saito (lauréate 1991) - Wim Vanlessen (lauréat 1993) [Ballet Royal de Flandre]

Gopak
Chorégraphie : Fyodor Lopukhov
Musique : Vassili Soloviev Sedoy
Dinu Tamazlacaru (lauréat 2002) [Ballet de Berlin]

La Fille au Roi Louis (création)
Chorégraphie : Thierry Malandain
Musique : Chanson française d’autrefois
Nathalie Verspecht (lauréate 1994) - Giuseppe Chiavaro [Ballet Biarritz]

Le Corsaire (pas de deux)
Chorégraphie : Marius Petipa
Musique : Ricardo Drigo
Mizuka Ueno (lauréate 1988) [Tokyo Ballet] - Dmitri Semionov [Ballet de Berlin]

Le Parc (duo)
Chorégraphie : Angelin Preljocaj
Musique : Wolfgang Amadeus Mozart
Laetitia Pujol (lauréate 1992) - Florian Magnenet [Ballet de l'Opéra de Paris]

Canon en ré majeur (Le Souffle de l’Esprit)
Chorégraphie : Jiří Bubeníček (lauréat 1992)
Musique : Otto Bubeníček - Johann Pachelbel
Otto Bubeníček (lauréat 1992) [Ballet de Hambourg] - Jiří Bubeníček (lauréat 1992) - Jon Vallejo [Ballet du Semperoper de Dresde]

Deuxième partie

Sensorium
Chorégraphie : Alastair Marriott
Musique Claude Debussy
Leanne Benjamin (lauréate 1981) - Tom Whitehead [Royal Ballet]

Les Bourgeois
Chorégraphie : Ben Van Cauwenbergh (lauréat 1976)
Musique : Jacques Brel
Dinu Tamazlacaru (lauréat 2002) [Ballet de Berlin]

Thaïs (avec l’aimable autorisation de la Fondation Frederick Ashton)
Chorégraphie : Frederick Ashton
Musique : Jules Massenet
Yuhui Choe (lauréate 2002) - Ryoichi Hirano (lauréat 2001) [Royal Ballet]

On the Nature of Daylight
Chorégraphie : David Dawson (lauréat 1991)
Musique : Max Richter
Yumiko Takeshima - Jiří Bubeníček (lauréat 1992) [Ballet du Semperoper de Dresde]

Roméo et Juliette (pas de deux)
Chorégraphie : John Cranko
Musique : Serge Prokofiev
Polina Semionova [Ballet de Berlin] - Friedemann Vogel ( lauréat 1997) [Ballet de Stuttgart]

Altro Canto
Chorégraphie : Jean-Christophe Maillot (lauréat 1977)
Musique : Monteverdi, Kapsberger, Marini
Bernice Coppieters (lauréate 1988) - Asier Uriagereka (lauréat 1993) [Ballets de Monte-Carlo]

Don Quichotte (pas de deux)
Chorégraphie : Marius Petipa · Alexander Gorsky
Musique : Ludwig Minkus
Anna Tsygankova [lauréate 1995] - Matthew Golding [lauréat 2002] [Ballet National des Pays-Bas]


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garfield73



Inscrit le: 07 Mai 2011
Messages: 36

MessagePosté le: Mer Fév 15, 2012 11:18 pm    Sujet du message: Lausanne pour les français Répondre en citant

"Carl Van Godtsenhoven part à Hambourg cet été."
Bonjour, jai vu cette info plus haut, quelqu'un peut il me dire si c'est pour l'école d'été ou bien pour l'année ? merci !'


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sophia



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Messages: 22086

MessagePosté le: Mer Fév 15, 2012 11:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est pour intégrer l'école de Hambourg l'année prochaine.


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Bloup



Inscrit le: 30 Mar 2011
Messages: 113

MessagePosté le: Ven Fév 17, 2012 12:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

Alaia Rogers, finaliste, intègre la Royal Ballet School ce lundi.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Ven Fév 17, 2012 8:27 am    Sujet du message: Répondre en citant

Déjà? Shocked Bravo! Smile


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Bloup



Inscrit le: 30 Mar 2011
Messages: 113

MessagePosté le: Sam Fév 18, 2012 1:32 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, c'est étonnant!!


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suzy



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MessagePosté le: Ven Fév 24, 2012 1:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Super votre reportage et contente de voir la tête de haydn. Je suis toujours sur votre site, mais je ne commente plus souvent.


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