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Casse-noisette [Opéra Bastille 26 novembre-31 décembre 2014]
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suzy



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MessagePosté le: Sam Déc 13, 2014 8:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

et moi qui vient express de la Belgique le 24 décembre pour voir Ludmilla le 24 décembre je ne suis vraiment pas contente de devoir changer de danseuse .


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2014 1:24 am    Sujet du message: Répondre en citant

J'espère que le spectacle vous plaira quand même, suzy Wink

Retour sur la représentation de ce soir, qui marquait pour moi la découverte de la distribution des "jeunes qui promettent", Léonore Baulac et Germain Louvet.

Et tout d'abord, un grand coup de chapeau à Letitizia Galloni, qui a littéralement explosé dans la Danse arabe, au second acte. Jouant de son corps d'une malléabilité extraordinaire, elle a campé une vamp langoureuse, allumeuse, réveillant chez papy Stahlbaum quelques émois de jeune homme. Cette interprétation se justifie entièrement dans le contexte de la relecture peu orthodoxe (sans et avec jeu de mot) que fait Nouréev de Casse-Noisette, et tout particulièrement des danses de caractère du second acte (danse espagnole, le torero macho qui séduit la belle andalouse ; danse russe, orgie entre babouchkas et moujiks complètement saouls ; danse chinoise, les pervers-pépères à moustache, façon Frères-Jacques, qui matent et reluquent ; pastorale, le galant à l'ancienne qui en prend une par devant, une par derrière), autant de saynètes supposées déniaiser Clara (qui est, à ce point du ballet, déjà à un stade avancé de déniaisement il est vrai) et l'initier aux choses de la vie.

Plus sérieusement, Letizia Galloni a montré dans cette brève séquence qu'elle possédait un potentiel artistique considérable, et on l'imagine aisément, compte-tenu de son tempérament affirmé - et qui s'affirme encore davantage de mois en mois - tant en Gamzatti qu'en Nikiya. Cela ne saurait sans doute beaucoup tarder.

Dans la danse espagnole, on remarquait Charlotte Ranson, un peu trop sage, mais dont le travail de jambe magnifique - ce n'est pas un mince compliment, compte-tenu de la densité des pas tracés par Nouréev - est un bel hommage à l'école française.

Toujours dans les seconds rôles, signalons aussi la belle performance d'actrice de Christine Peltzer, grand mère désopilante, entrainée aux bêtises par Samuel Murez, son présumé mari.

Mais arrivons-en au couple principal, constitué de Léonore Baulac et Germain Louvet. Les deux artistes sont très bien assortis sur le plan physique, et le couple est, visuellement, d'une grande harmonie, même si une partenaire un peu plus petite faciliterait la tâche à M. Louvet dans les portés périlleux du grand pas de deux final (paradoxalement, c'est le plus difficile d'entre eux, le dernier, sur la cuisse, qui a été le mieux exécuté). Germain Louvet est un beau danseur noble, qui pourra prétendre, dans le répertoire romantique, aux rôles princiers. Il devrait également s'épanouir dans certains ballets de Balanchine, comme Diamants (Joyaux), et s'approprier peu a peu le répertoire qui fut celui d'un Jean-Guillaume Bart. Mais rien ne sert de précipiter les choses, du chemin reste encore à parcourir. Dans sa variation de l'Acte II, il a déployé élégance et énergie. Un peu d'assurance lui manque encore. Quelques réceptions étaient incertaines (manifestement davantage le trac qu'une technique insuffisante) mais il a toujours su se relancer avec aplomb et professionnalisme.

Léonore Baulac est, elle, une Clara un peu à contre-emploi. Elle est certes pétillante, espiègle, mais ses lignes, son caractère bien trempé, en font plutôt une Sylvia, une Tatiana, une Juliette éventuellement, bref, une ballerine capable de prendre la relève d'Isabelle Ciaravola et d'Agnès Letestu dans les ouvrages néo-classiques de Cranko, Neumeier, et également ceux de Balanchine ou Robbins, chers à Benjamin Millepied. Dans la terrible variation de la "Fée dragée", Mlle Baulac assure du mieux qu'elle peu - on regrettera tout de même le tempo exagérément ralenti - et s'en sort avec dignité. Néanmoins, il n'y a plus guère, à l'Opéra de Paris, que Ludmila Pagliero et Dorothée Gilbert qui soient capables de maitriser vraiment cette pièce d'une difficulté infernale (Amandine Albisson peut-être également, mais nous ne le saurons pas cette fois...).

Le corps de ballet était plutôt bon dans le premier acte, et la Valse des flocons était bien emmenée, à l'exception d'un loupé véniel dans la ronde. En revanche, le second acte était moins satisfaisant, avec une Valse des fleurs à la géométrie parfois aléatoire, en dépit des gesticulations de Kevin Rhodes, le chef d'orchestre, qui faisait de son mieux pour ramener la discipline sur le plateau.

Dans la fosse, l'Orchestre de l'Opéra National de Paris a de nouveau fait bonne impression, avec des cuivres déchaînés ce soir. On se serait cru dans une symphonie de Bruckner. Dans le défilé - avec le retour de tous les ensembles de danses de caractère - qui clôt l'acte II, le flûtiste (piccolo?) nous a par ailleurs gratifiés de ce qui semble être une ornementation improvisée, et qui a en tous cas remporté un certain succès auprès de l'auditoire.

Le public, dans lequel on trouvait de nombreux enfants, était assez chaleureux et n'a pas mégoté ses applaudissement. On saura par ailleurs gré aux régisseurs de l'Opéra Bastille de n'avoir pas rallumé la salle trop vite, afin de permettre aux danseurs, et notamment à Mlle Baulac et à M. Louvet, de jouir d'un succès mérité.



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Dernière édition par haydn le Jeu Déc 18, 2014 9:18 am; édité 1 fois
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Florestiano



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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2014 1:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

Nous serons, haydn, d'accord sur le fait que c'est Mlle Galloni qui a su créer le moment de grâce de cette soirée. Salle en suspens pendant cette danse arabe débordant d'un lyrisme touchant, que des bras d'une fluidité confondante venaient par ailleurs flatter.

Il s'agissait pour moi de la seule représentation de la série et j'avais oublié combien ce ballet, dont j'ai certainement fait une indigestion incurable lors de la dernière reprise, est bavard.

Je partage également avec haydn ses impressions sur le Prince de Germain Louvet. Quelles lignes magnifiques ! Et une assurance technique rafraîchissante au sein de cette compagnie. Drosselmeyer en revanche inexistant. Les petites fées des ateliers devraient réfléchir à un moyen de confectionner un accoutrement crédible de Drosselmeyer, parce que là, avec un danseur aussi jeune et aussi beau que M. Louvet, les quelques accessoires dont il est grimé ne suffisent à aucun moment à rendre crédible son incarnation, du reste falote, du personnage. Mais c'est une belle et très prometteuse prise de rôle pour lui.

La déception quant à la Clara de Mlle Baulac est à la hauteur de l'excitation qui précédait la découverte. Mlle Baulac est loin de dominer la technique du rôle, les mots pudiques de haydn au sujet de la variation de la fée Dragée masquant une réalité malheureusement bien peu flatteuse (je ne suis pas sûr que "scolaire" suffirait à décrire justement ce que j'en pense...). J'ai été très incommodé par un haut du corps sclérosé, des bras bien gauches. J'ai en revanche beaucoup admiré son regard, ses immenses yeux dont elle sait merveilleusement jouer.

D'ivresse, il n'y eut point. Quid du flacon ? Entre des décors pour beaucoup dans un état douteux, des éclairages assez sombres, un orchestre flagada peu porté par des tempos suffisamment allants, on ne peut pas dire que les atours de cette production aient beaucoup contribué à instiller du peps dans cette soirée, globalement assez poussive.

Longs applaudissements et public très enthousiaste à la fin.


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2014 2:11 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne suis pas d'accord en ce qui concerne l'orchestre, que j'ai trouvé très beau, question sonorité. Après, les tempi, c'est une autre affaire. Le chef n'en est d'ailleurs pas seul responsable, il est plus ou mois obligé de se conformer aux instructions des danseurs et des maîtres de ballets (leur problème à eux, c'est d'arriver à caser les pas de la chorégraphie de Nouréev, dont on sait qu'il se plaisait à en dessiner un par note...).



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Florestiano



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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2014 10:02 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ah mais que l'orchestre sonne joli, on est bien d'accord - Philippe Jordan œuvre d'ailleurs en ce sens depuis le début de sa prise de fonction.
Ce qui m'a gêné, c'est que cela suintait d'ennui, on avait envie de donner du redbull aux musiciens. Le contraste entre les gesticulations désespérées de Kevin Rhodes et le planplan qui sortait de la fosse - un comble pour cette partition toute en crépitement - interpelait. Peut-être était-ce lié à mon placement ? Mystère !

Sur les tempi, si votre point est de rappeler que la chorégraphie de Noureev est proprement indansable, que l'écriture interdit toute grâce, singulièrement dans les pas de deux, et que nous serons les plus heureux des hommes le jour où sera créée une nouvelle production, nous serons là encore d'accord Razz


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2014 11:21 am    Sujet du message: Répondre en citant

Quelques petites choses à ajouter : comme lors de la première, j'ai trouvé que les enfants de l'Ecole de danse faisaient montre de beaucoup plus de sens théâtral que précédemment et s'en donnaient à cœur joie dans la "bataille des rats" au premier acte. Par ailleurs, je ne sais pas si c'est ma mémoire qui flanche, mais il me semble qu'à l'acte II, le "bal des chauve-souris" ou le cauchemar de Clara, c'est comme on veut, était noyé dans une épaisse fumée. Là, il m'a semblé que le brouillard était beaucoup moins dense. Je ne me souvenais plus non plus que les chauve-souris en question retiraient leur masque à la fin de la scène. Enfin, les éclairages ne m'ont pas paru particulièrement sombres. Il m'a même semblé qu'ils étaient plus intenses que lors des précédentes reprises, mais là aussi, ma mémoire visuelle peut me trahir...



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doudou



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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2014 3:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
Quelques petites choses à ajouter : comme lors de la première, j'ai trouvé que les enfants de l'Ecole de danse faisaient montre de beaucoup plus de sens théâtral que précédemment et s'en donnaient à cœur joie dans la "bataille des rats" au premier acte. Par ailleurs, je ne sais pas si c'est ma mémoire qui flanche, mais il me semble qu'à l'acte II, le "bal des chauve-souris" ou le cauchemar de Clara, c'est comme on veut, était noyé dans une épaisse fumée. Là, il m'a semblé que le brouillard était beaucoup moins dense. Je ne me souvenais plus non plus que les chauve-souris en question retiraient leur masque à la fin de la scène. Enfin, les éclairages ne m'ont pas paru particulièrement sombres. Il m'a même semblé qu'ils étaient plus intenses que lors des précédentes reprises, mais là aussi, ma mémoire visuelle peut me trahir...

Cher modérateur,
Si si les masques étaient retirés à la fin. La fumée est un sujet en soi à l'Opéra Bastille (souvenir d'une Walkyrie où même la salle était dans la brume) et est souvent variable selon les soirs et d'autres critères non maitrisés par votre serviteur. (Pression atmosphérique, hygrométrie, âge du chef........).
Laughing


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eloisa



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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2014 4:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il me semble aussi voir des eclairages plus intenses depuis quelques semaines. La scène avec les chauves souris a effectivement souvent été noyée dans le brouillard...
Pour la representation du 17, beaux débuts de G Louvet avec une belle danse et une belle presence, à confirmer, moins enthousiaste sur L Baulac..
D'accord avec vous sur L Galloni, eblouissante dans la danse arabe, et de meme quelques jours plus tot dans un des deux flocons, dans un vocabulaire très classique: LA coryphée a passer sujet au concours qui vient d'avoir lieu? Plus sérieusement, la presence sur scène s'acquiert avec des "petits" roles qui permettent d'évoluer. Bruler les étapes est parfois contre productif...


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2014 4:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ces dix dernières années le matériel a pourtant beaucoup évolué, et les machines à fumée, beaucoup moins capricieuses qu'avant, fonctionnent maintenant avec d'énormes bonbonnes de CO2.



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Pomme



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Messages: 20

MessagePosté le: Ven Déc 19, 2014 12:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
Je ne suis pas d'accord en ce qui concerne l'orchestre, que j'ai trouvé très beau, question sonorité. Après, les tempi, c'est une autre affaire. Le chef n'en est d'ailleurs pas seul responsable, il est plus ou mois obligé de se conformer aux instructions des danseurs et des maîtres de ballets (leur problème à eux, c'est d'arriver à caser les pas de la chorégraphie de Nouréev, dont on sait qu'il se plaisait à en dessiner un par note...).


Une collègue actuellement dans la fosse à Garnier m'expliquait que le chef d'orchestre n'avait aucune responsabilité sur les tempi qui sont entièrement décidés par les maîtres de ballets et les solistes. Le chef suis les pas des danseurs pour les cadences, et le tempo des variations change selon les solistes.


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haydn
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MessagePosté le: Ven Déc 19, 2014 12:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Critique un peu aigre-douce de Roslyn Sulcas dans le New York Times :


La chorégraphie de Nouréev (dont "les intuitions sont extraordinairement anti-musicales") se fait descendre au bazooka (Balanchine, c'est quand même franchement mieux, on s'en serait douté...), le corps de Ballet est jugé "meilleur qu'il n'a jamais été au cours des dernières années". Roslyn Sulcas loue le couple Léonore Baulac / Germain Louvet pour "l'admirable finesse avec laquelle il a géré les difficultés techniques" mais déplore en même temps, là aussi, l'absence de musicalité et d'émotion:

Citation:
s. Baulac is blond and sweet-faced, with a glorious sweeping line and buoyant jump; the dark-haired Mr. Louvet is a danseur noble type, tall and elegant with a lovely refinement to his dancing. They coped with the difficulties of the choreography with admirable finesse and offered a radiant final pas de deux, but neither are as interesting to watch as they might be. Both move with a bland evenness; there is little phrasing or a sense of differentiated dynamics that would bring life and intensity to their dancing.

This lack of responsive musicality is a pity, given the technical level of the dancing in this company. The snowflake scene suggests it’s an issue that Benjamin Millepied, the new director of dance at the Opera, is addressing. Next: a different “Nutcracker,” please.


A Proudly Unsentimental ‘Nutcracker’ at Paris Opera Ballet, par Roslyn Sulcas (New York Times)



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haydn
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MessagePosté le: Ven Déc 19, 2014 6:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mini présentation audio de Casse-Noisette par Dorothée Gilbert et Mathieu Ganio. Dorothée Gilbert raconte l'histoire, mais présume un peu des compétences chorégraphiques du balletomane moyen, puisqu'elle affirme tout de go : "il faut que ça ait l'air si facile que chacun ait l'impression, en rentrant chez soi après avoir vu le spectacle, qu'il suffit de mettre un tutu (pour Drosselmeyer aussi, le tutu?) pour pouvoir le danser aussi".

Personnellement, je ne relèverai pas le défi...



«Casse-Noisette», un conte de Noël à l'Opéra Bastille



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sophia



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Messages: 22086

MessagePosté le: Ven Déc 19, 2014 6:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

M'enfin, entre Balanchine et Noureev, il me semble que la messe est dite... et ce n'est pas le propos. Certes, tout cela est un peu (beaucoup) attendu, mais au moins, les choses sont dites. Passons à autre chose!


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frederic



Inscrit le: 23 Jan 2007
Messages: 976

MessagePosté le: Sam Déc 20, 2014 1:43 am    Sujet du message: Répondre en citant

Regrettable tout de même que le New York Times comme d'ailleurs l'Opéra de Paris persistent à écrire "d'après Marius Petipa" alors que c'est Lev Ivanov, auteur aussi de l'acte 2 du Lac des Cygnes, qui a chorégraphié la version originelle/originale de Casse-Noisettte, Petipa étant souffrant. Certes, il est co-auteur du livret mais pas de la chorégraphie.


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haydn
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Messages: 26513

MessagePosté le: Sam Déc 20, 2014 3:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les interprétations un peu détournées de Casse-Noisette, elles non plus ne datent pas de Nouréev :




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