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Jan Fabre s'expose en Avignon
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haydn
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MessagePosté le: Jeu Juil 21, 2005 6:59 am    Sujet du message: Répondre en citant

René Sirvin, dans le Figaro, ne fait pour sa part pas vraiment dans la dentelle pour exprimer son mécontentement au sujet de Needlapb 10, de Jan Lauwers, présenté au Cloître des Célestins :


Citation:
Les dieux du théâtre se vengent-ils ? Il semble qu'une malédiction frappe le 59e Festival d'Avignon où l'on tombe de Charybde en Scylla (qui, précisons-le, ne sont pas deux auteurs joués dans le «in» !). Les ouvreuses ne distribuent pas de programme à l'entrée du spectacle de Jan Lauwers car, ainsi que ce dernier vient l'expliquer sur scène, il n'y a pas de spectacle. Needlapb 10 n'est pas non plus une création de la Needcompany, mais seulement «des éléments jetés comme ça : si vous aimez, on en fera quelque chose». Vrai ou faux, ce qui était annoncé (et vendu) comme théâtre-danse-musique-vidéo pue l'improvisation du dernier moment et l'imposture sans vergogne.



L'article du Figaro est ICI


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Juil 21, 2005 7:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

Libération est moins sévère, mais pas follement enthousiaste non plus :

Citation:
Pour cette édition, Lauwers a voulu montrer un autre aspect de son travail : le needlapb. Il ne s'agit ni d'un event à la Cunningham, ni d'improvisation, ni vraiment de work in progress. Le needlapb ­ ici dixième du nom ­ est un moment d'expérimentation. Le collectif d'artistes, acteurs, danseurs, musiciens s'essaie à ce qui, un jour, pourra figurer dans un spectacle, ou restera lettre morte. «On décide tout vingt-quatre heures avant la présentation, explique Jan Lauwers. Cela donne une liberté spirituelle, le needlapb, c'est l'âme de la compagnie, le lieu de la décision.»



L'article de Marie-Christine Vernay est ICI


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Lise



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MessagePosté le: Jeu Juil 21, 2005 12:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sur le site de Libération est annoncé un chat avec Jan Fabre aujourd’hui de 13h à 13h30. Il est possible d'envoyer ses questions dès maintenant.


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sophia



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MessagePosté le: Jeu Juil 21, 2005 3:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Comme j'avais du temps et qu'il ne faut pas mourir idiot Mr. Green, j'ai suivi le chat avec Jan Fabre. Il y avait très peu de participants, une dizaine à tout casser. Les modérateurs officiels avaient même l'air de réclamer des questions. Donc, j'en ai posé deux, très naïvement, sans aucune provocation ni agressivité: 1/ Vous intéressez-vous à la danse classique? 2/ La danse, et l'art en général, doivent-ils nécessairement être combatifs, car c'est aussi un lieu commun de notre temps? Résultat: rien, seules les questions complaisantes ou à visée strictement informative ont recueilli une réponse; les développements donnés reprenaient le plus souvent des éléments qu'on peut trouver dans n'importe quelle interview (par exemple, sur ce qu'il attend comme travail de ses danseurs) ou visaient à donner une image positive et biaisée par rapport à la réalité de l'accueil du public avignonnais et de la pluralité de l'offre artistique du festival.
Je n'attendais pas grand-chose de cela mais grosse déception quand même, pour ne pas dire colère vis-à-vis de la dictature culturelle sous laquelle nous vivons.


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haydn
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MessagePosté le: Ven Juil 22, 2005 9:56 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le festival d'Avignon continue de faire des vagues, ainsi que le rapporte une dépêche de l'AFP, après la première, houleuse, de Soit le puits était profond... de Christian Rizzo :

Citation:
A l'issue de la première de cette pièce, - une sorte de tableau vivant à l'accompagnement musical assourdissant de Didier Ambact et Gerome Nox (une batterie pétaradante sur fond de musique électronique répétitive succédant à un quart d'heure de hurlements des danseurs) -, des cris d'opposition se sont élevés et les applaudissements ont été maigres pour les interprètes, dans le Cloître des Carmes.



La dépêche AFP sur Yahoo est ICI




Dernière édition par haydn le Ven Juil 22, 2005 10:17 am; édité 2 fois
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haydn
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MessagePosté le: Ven Juil 22, 2005 9:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

De même, et toujours selon l'AFP, Frère & soeur, de Mathilde Monnier, n'a pas franchement "cassé la barraque" :

Citation:
La chorégraphe Mathilde Monnier a manqué mercredi soir, au 59e Festival d'Avignon, son entrée dans la cour d'honneur du Palais des papes -le lieu historique de la manifestation-, avec la création un peu courte de "Frère & soeur", huée au final par le public des hauteurs et mollement soutenue par le reste de l'assistance.
Pendant cette première, on a entendu deux voix crier "affligeant" et "nul" dans l'indifférence générale.



La dépêche AFP sur Yahoo est ICI


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haydn
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MessagePosté le: Ven Juil 22, 2005 10:15 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pas un jour sans une avalanche d'articles dans la presse sur Avignon. Même si les spectacles sont apparemment contestables, pour les journalistes parisiens, le climat de la Cité des Papes ne doit sans doute pas être désagréable...


Libération n'a apparemment que moyennement goûté Frère & soeur, de Mathilde Monnier, dont il est fait état dans la dépêche AFP citée plus haut :


Citation:
l'an dernier, Mathilde Monnier créait Publique au festival Montpellier Danse. Sur la musique de la rockeuse PJ Harvey, les danseuses déboulaient en scène, véritables furies. Echangeant leurs vêtements comme au bon vieux temps, retrouvant une énergie rock et féministe, sans craindre une certaine hystérie dans leur danse individuelle de boîte de nuit, elles faisaient du plateau un défouloir. Cette année, pour sa deuxième création, après l'inénarrable Place du singe (1) avec Christine Angot, la directrice du Centre chorégraphique national de Montpellier propose un autre revival. Dans la lignée de Publique, Frère & Soeur n'emporte pas la même adhésion.



L'article de Marie-Christine Vernay est ICI



Libé en profite aussi pour en remettre une couche sur Jan Fabre. A propos de l'Empereur, Bruno Masi écrit :

Citation:
Cette succession de poncifs transpire la complaisance, les pensées d'un cerveau en écriture libre au kilomètre. On imagine l'auteur sur sa feuille, transporté par sa prose. Sur la scène, les mots sont un étau coupant court à l'empathie, un mur entre les spectateurs et le clown. Impossible de le suivre, de l'aimer ou le haïr. Il a beau rater ses tours et s'en mordre les doigts, on s'en moque. Il est seul et rien n'y changera. Cela pourrait durer des heures. Ou cinq minutes.



La critique de Libération est ICI


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haydn
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MessagePosté le: Ven Juil 22, 2005 10:19 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le Monde n'est guère plus enthousiaste au sujet de Frère & Soeur de Mathilde Monnier :

Citation:
Décidément, les applaudissements ne franchiront pas le mur du son cet été dans la Cour d'honneur du Palais des papes. Les huées en revanche occupent passablement le terrain. Mercredi 20 juillet, la première de la pièce de Mathilde Monnier Frère et soeur, d'une durée d'à peine une heure, a plongé les spectateurs dans la perplexité. La déconvenue est à la hauteur de l'attente que le thème inscrit dans le titre avait suscitée.



L'article de Rosita Boisseau est ICI


La critique est complétée par une interview-témoignage d'Isabelle Waternaux, de Claire Denis et de Christine Angot, qui ont collaboré avec Mathilde Monnier.

L'interview est ICI




Dernière édition par haydn le Ven Juil 22, 2005 10:24 am; édité 1 fois
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haydn
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MessagePosté le: Ven Juil 22, 2005 10:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ton encore plus sévère du Monde à l'endroit de l'Empereur de Jan Fabre :


Citation:
Très rapidement, l'absence absolue de véritable propos, si ce n'est une vague, très vague, très prétentieuse et très paresseuse tentative de méditation sur la posture du clown et la beauté de l'échec, saute aux yeux, ou plutôt aux oreilles.

Car c'est bien le texte, qui est au coeur de ce spectacle puisqu'il s'agit d'un pur et simple monologue théâtral, qui fait problème ici, comme dans L'Histoire des larmes, le spectacle avec lequel Jan Fabre a fait l'ouverture du Festival dans la Cour d'honneur : un texte d'une vacuité et d'une vanité totales.



L'article de Fabienne Darge est ICI


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haydn
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MessagePosté le: Ven Juil 22, 2005 10:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

En revanche dans le Figaro, Armelle Héliot se contente d'une présentation très neutre du travail de Mathilde Monnier et Christine Angot :

Citation:
L'une est blonde et l'autre pas. L'une est brune et l'autre pas. L'une s'enveloppe de silence. L'autre s'étourdit de parole. Elles se ressemblent par la musique. Un lyrisme du corps, pour Mathilde Monnier, un lyrisme du souffle pour Christine Angot. Une retenue, un effarouchement de tout l'être pour Mathilde Monnier, la solaire, si libre sur les plateaux, si timide dans la vie obligée de la chorégraphe : parler de son art, de son travail. Une véhémence, une agressivité bien tempérée de toute sa personne, pour Christine Angot, la nocturne, si étonnante lorsque, lectrice, elle s'empare de ses textes, si offensive lorsqu'elle doit défendre par la parole son art, son travail.



L'article d'Armelle Héliot est ICI


Pour faire bonne mesure le Figaro publie néanmoins une série de papiers très critiques sur le Festival d'Avignon.

D'abord, sur deux création douteuses de Gisèle Vienne :

Citation:
On croit avoir tout vu, être allé au bout de la médiocrité, de la prétention, de la confusion des genres. Mais non. Il y a toujours mieux, c'est-à-dire toujours pire, ainsi qu'en témoignent de désolante façon les deux propositions de l'ineffable Gisèle Vienne à la Chapelle des pénitents blancs. L'une, Une belle enfant blonde, est ridicule et très ennuyeuse, l'autre, I Apologize, est grotesque et d'une révoltante ambiguïté.


L'article d'Armelle Héliot est ICI


Vient ensuite un papier sur le mécontentement général du public :

Citation:
Le mistral rafraîchit les rues d'Avignon. Comme au premier soir du Festival, il y a douze jours, on grelotte la nuit venue. Mais rien qui puisse apaiser l'échauffement des esprits, rien qui puisse atténuer l'exaspération ambiante. Tout le monde s'énerve. Il aurait suffi d'un regard pour que l'altercation qui a provoqué la mort d'un Nîmois de 30 ans, samedi soir, éclate. Les trois Albanais soupçonnés – dont deux étaient vigiles au Théâtre Le Paris – se sont rendus d'eux-mêmes dès lundi. L'enquête se poursuit. Mais qu'est-ce qu'une ville où il faut des vigiles dans les salles de théâtre ? Le public est en colère et le fait savoir. Partout, il quitte les salles et bronche bruyamment à la fin quand ce n'est pas en plein spectacle. Tiendra-t-il huit jours de plus ?



L'article du Figaro est ICI

Egalement au menu, une interview du député Renaud Muselier, qui est aussi Conseiller à la Culture auprès de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. En bon politicien, il botte en touche :


Citation:
Le public est souverain, pas le politique. La politique ne doit jamais s'immiscer dans la création. La subvention est là pour aider à la création mais elle n'est pas là pour donner une ligne directrice. Seuls l'engouement et le succès populaire sont la preuve de la réussite d'un festival. Cette année, nous sommes dans le débat. C'est une habitude des municipalités d'Avignon de ne jamais s'immiscer dans les programmations. Nous même à Marseille, dans notre politique culturelle, il y a toujours eu la liberté pour nos artistes.


L'interview de Renaud Muselier est ICI


Enfin, l'édito d'Armelle Héliot est également écrit d'une plume trempée dans le vitriol :


Citation:
Puisque les civilisations sont mortelles, on ne voit pas pourquoi les manifestations culturelles ne le seraient pas. Gravement secoué par l'annulation de 2003, à la suite du conflit des intermittents du spectacle, s'étant assez bien remis de ce traumatisme en 2004, le Festival d'Avignon connaît, avec le cru 2005, une crise comme il n'en avait pas traversé depuis 1968.

A l'époque, c'est dans la traîne du mois de mai qu'il s'était trouvé pris et ceux qui scandaient dans les rues «Vilar, Salazar» n'en ont jamais été très fiers. Pour rien au monde, le fondateur n'aurait cédé à ces pressions, mais, à chaque pas, il se posa la question du sens de la manifestation qu'il animait de toute sa rigoureuse et chaleureuse intelligence.



L'éditorial d'Armelle Héliot est ICI




Dernière édition par haydn le Ven Juil 22, 2005 10:47 am; édité 1 fois
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sophia



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MessagePosté le: Ven Juil 22, 2005 10:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le texte du "chat" de Libération avec Jan Fabre peut être lu ICI.

Difficile de ne pas être frappé par le narcissisme du personnage... Mais, ce qui me gêne quand même beaucoup plus, c'est le recours aux poncifs les plus éculés et en même temps les plus consensuels (du genre, l'art c'est mieux que la guerre; mon seul combat, c'est la beauté...) comme justification théorique de son travail. Alors, est-ce de la naïveté adolescente (je ne le crois pas) ou du pur cynisme (j'aurais davantage tendance à le croire: preuve en est, le petit passage qui n'aura échappé à personne sur les subventions publiques Mr. Green.)?

Ce qui est quand même un peu réjouissant dans cette actualité, non seulement de Jan Fabre, mais aussi du Festival d'Avignon (qui, rappelons-le, est à l'origine un festival de théâtre où l'on a joué les plus grands textes...), c'est qu'il commence à y avoir des voix -y compris dans les medias les plus officiels- pour réagir face à l'expérimentation généralisée.


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haydn
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MessagePosté le: Sam Juil 23, 2005 10:27 am    Sujet du message: Répondre en citant

Libération, qui jusqu'à, présent prenait part au concert des critiques, publie ce matin un curieux article pour prendre la défense des organisateurs du Festival. Ordres de la direction de prendre le contrepied des positions du Figaro? La chose est d'autant plus étrange que le papier est cosigné de René Solis - qui s'était montré particulièrement réservé face à la mouture 2005 du festival d'Avignon - et d'Antoine De Baecque, peut-être chargé de battre le rappel des brebis égarées...


Citation:
Le feu couvait, il a éclaté jeudi en une du Figaro : «Le public en colère à Avignon.» Le quotidien n'y va pas de main morte : «Catastrophique désastre artistique et moral», et un amalgame à la va-vite entre un fait divers tragique ­ une altercation mortelle dans la rue ­ et «l'exaspération ambiante» qui serait due à la programmation du festival. Secouée par la violence des attaques, la direction du festival fait face, soulignant que les salles sont pleines et qu'il n'y a jamais eu autant de monde dans les expositions et les débats.



L'article de Libération est ICI


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haydn
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MessagePosté le: Sam Juil 23, 2005 10:40 am    Sujet du message: Répondre en citant

COmme elle l'avait fait pour Wim Vanderkeybus, Muriel Steinmetz, de l'Humanité, se borne à un récit purement descriptif de la dernière création de Christian Rizzo, Soit le puits était profond.... Un journal d'opinion sans opinion... mais que fait Jaurès?


Citation:
Le chorégraphe Christian Rizzo présente sa dernière oeuvre, intitulée Soit le puits était profond, soit ils tombaient très lentement, car ils eurent le temps de regarder tout autour (1), au cloître des Carmes. Ce titre à rallonge, tiré d’une phrase de Lewis Caroll, dit bien l’enjeu puisque les interprètes tombent en effet comme au ralenti, dans des fissures ménagées sur la scène. La pièce est résolument épurée, quoique toujours aussi radicale. L’artiste, qui a un goût prononcé pour les arts plastiques, la nature morte et pourquoi pas la mort tout court, s’avance à pas comptés vers sa propre vérité. Il cherche. Il trouve.



L'article de Muriel Steinmetz est ICI


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Katharine Kanter



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Localisation: Paris

MessagePosté le: Dim Juil 24, 2005 11:01 am    Sujet du message: Après Jan Fabre, Ze Monde - Le Retour Répondre en citant

Les amis de M. Jan Fabre ne trouveront pas à re-rire.

Le deuxième numéro du journal satirique

"THE MONDE"

par M. Beni Oui oui

est de retour dans les kiosques, au prix de 3.95 euros.

C'est tellement drôle que l'on se roule litéralement par terre à force de rire.

Mais je ne vous en dirais pas plus sur un site de Danse.


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haydn
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MessagePosté le: Dim Juil 24, 2005 11:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Restons sérieux, Katharine Wink ... d'ailleurs Le Monde (version originale!) a été - curieusement - fort critique envers Jan Fabre. Seul Libération, et encore, très tardivement, a pris sa défense. Maintenant, il faut aussi voir pour juger. Les comptes-rendus publiés par la presse étaient dans l'ensemble très sévères, mais notre amie Lalunenoir a été enchantée par ce qu'elle a vu. Donc, tout n'était peut-être pas forcément mauvais...


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