Dansomanie Index du Forum
Connexion S'enregistrer FAQ Liste des Membres Rechercher Dansomanie Index du Forum

Le Parc (A. Preljocaj), saison 2005-2006
Aller à la page Précédente  1, 2, 3, 4, 5  Suivante
 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Dansomanie Index du Forum -> Tout sur la danse
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Ven Sep 23, 2005 1:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Petit article d'Ariane Bavelier dans le Figaro d'hier 22/09, malheureusement pas accessible en ligne... Apparemment, les critiques chorégraphiques du Figaro semblent nourrir quelque animosité envers le Web, puisque les articles de René Sirvin ne figurent plus non plus sur la toile...


Citation:
On ne soupçonnait pas que Laetitia Pujol puisse être aussi émouvante interprète. Le Parc revèle enfin cette étoile nommée sans tintamarre en 2002.

Et le ballet? Il joue au moins aussi bien qu'il danse. En ouvre, il semble avoir définitivement apprivoisé la manière dont le chorégraphie taille, avec sa gestuelle, l'espace à la hache.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Ven Sep 23, 2005 11:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Première soirée avec Eleonora Abbagnato et Yann Bridard dans les rôles principaux. Les deux danseurs ont livré du Parc une interprétation très différente de celle de Laetitia Pujol et Laurent Hilaire ; Laurent Hilaire incarnait une sorte de Don Alfonso, élégant, raffiné, mais un rien cynique, manipulateur, qui dominait une Laetitia Pujol sensible, fragile, touchante.

Avec Eleonora Abbagnato et Yann Bridard, rien de tout cela ; ici, c'est madame qui "porte la culotte" et qui mène à la baguette un chien fou, amoureux transi, un peu vélléitaire et prêt à tous les sacrifices pour conquérir la Belle, sensuelle, sûre d'elle et dominatrice. On est plongé ici dans une ambiance totalement différente, avec une relecture du Parc diamétralement opposée à celle qu'en ont donné Laetitia Pujol et Laurent Hilaire ; chacun choisira selon ses goûts, mais pour notre part, notre préférence ira sans ambiguïté à la première distribution, où Laetitia Pujol, au style certainement moins flamboyant que celui d'Eleonora Abbagnato, savait, par sa sincérité, susciter chez le spectateur une émotion intense que les plus ingénieux artifices ne sauraient compenser.

A Yann Bridard on ne pourra certainement pas reprocher son absence de sincérité, d'engagement ; il possède par ailleurs de beaux moyens, d'indéniables qualités athlétiques, mais l'expression n'est pas toujours aussi contrôlée, maîtrisée qu'on pourrait le souhaiter. Laurent Hilaire campait au contraire un personnage à la psychologie complexe, intriguant intrigant, inquiétant, et pour tout dire, passionnant, à l'image d'un quintette de Mozart où la lumière est toujours nimbée de tâches d'ombre, et où l'ombre laisse poindre quelques discrets rais de lumière. Du grand art, qu'il n'est pas donné à tout le monde de pouvoir restituer avec un égal bonheur.


Le corps de ballet semble se bonifier au fil des représentations, avec des Jardiniers à la gestuelle d'une sécheresse et d'une précision toujours plus percutante. Nous avons déjà dit tout le bien qu'il fallait penser de Christelle Granier, impériale, de Christine Peltzer, de Cécile Sciaux, d'Eve Grinzstajn. N'oublions pas non plus Alice Renavand, racée, douée d'une personnalité rare, et qui a déjà tant montré la saison dernière tout ce dont elle était capable.


L'orchestre lui aussi évolue favorablement. Le chef, Koen Kessels, a semble-t-il légerement accéléré le tempo de l'introduction lente de la symphonie de Linz, histoire d'allèger un peu la pâte sonore, et d'éviter de donner à cette page célèbre un caratère trop monumental. De manière générale, l'accompagnement musical est tout en muscles, sans graisse inutile, même si l'orchestre joue sur des instruments modernes. Hors du "baroquisme", il y a un salut! Notons que le plancher de la fosse a été relevé à mi-hauteur, de manière à améliorer l'acoustique, compte-tenu de l'effectif restreint de l'Ensemble Orchestral de Paris. Une initiative fort judicieuse.




Dernière édition par haydn le Sam Sep 24, 2005 8:46 am; édité 1 fois
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Sam Sep 24, 2005 12:25 am    Sujet du message: Répondre en citant

Souvenirs en images (1ère série)




































Dernière édition par haydn le Sam Sep 24, 2005 11:02 am; édité 1 fois
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Sam Sep 24, 2005 12:26 am    Sujet du message: Répondre en citant

Souvenirs en images (2ème série)





































Dernière édition par haydn le Sam Sep 24, 2005 11:09 am; édité 1 fois
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Sam Sep 24, 2005 12:28 am    Sujet du message: Répondre en citant

Souvenirs en images (3ème série) :


































Dernière édition par haydn le Sam Sep 24, 2005 11:14 am; édité 1 fois
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Sam Sep 24, 2005 11:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je transfere actuellement provisoirement les images sur un autre serveur afin qu'elle restent accessibles en dépit de la panne. Merci de votre compréhension.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Dim Sep 25, 2005 6:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le Parc d'Angelin Preljocaj avec Eleonora Abbagnato et Yann Bridard

Bien souvent, on se retrouve confronté à ce sentiment: on voudrait s'abstraire des ses a priori, on souhaiterait assister à un spectacle en toute innocence, retrouver la naïveté de la jeunesse ou celle que l'on a face à l'inédit, et juger d'une représentation "sans connaissance de cause", comme si l'on ignorait tout de ceux qui sont sur scène. Mais voilà, nous ne sommes que de pauvres choses -"humain, trop humain"- et notre malheureux préjugé trouve, comme par hasard, sa confirmation dans ce qu'il voit.
Après avoir visionné le dvd du "Parc" avec Laurent Hilaire et Isabelle Guérin et assisté dans la foulée à la lumineuse première avec le même Hilaire et Laetitia Pujol, il est vrai que je ne m'attendais pas véritablement à reçevoir une révélation de la part de cette deuxième distribution, présentant pourtant deux magnifiques danseurs -plastiquement parlant-, en l'occurrence Yann Bridard et Eleonora Abbagnato. Et de révélation il n'y eut point, pas même l'éveil d'un quelconque intérêt pour ces personnages censés se jouer la comédie "de l'amour et du hasard". Le ballet de Preljocaj, on le sait, se propose d'évoquer, au travers d'une succession de tableaux représentant les différentes "étapes" de la séduction amoureuse, un certain "art d'aimer" propre à l'âge classique. Cet "art d'aimer", précisons-le, s'était constitué avant tout comme un art ou une rhétorique de la conversation, qui avait trouvé de ce fait un écrin privilégié dans la représentation théâtrale ou dans l'art épistolaire. Le défi auquel était soumis le chorégraphe -et le ballet est remarquablement réussi de ce point de vue- était de transposer cet art fondé essentiellement sur le langage verbal en un art essentiellement non verbal comme la danse dans lequel toutes les émotions ne peuvent être dites que par le corps. Ce qui nous pose problème dans l'interprétation de Yann Bridard et d'Eleonora Abbagnato est tout d'abord que leur couple ne paraît pas vraiment crédible. Ce n'est pas une question de physique, mais une question proprement dramatique. Jamais on ne ressent entre eux cette connivence, qu'elle soit celle de la simple attirance ou celle liée au sentiment amoureux dans tous ses états ou dans tous ses éclats. Ensuite, pour ce qui est spécifiquement de Yann Bridard, il faut bien avouer que son jeu ne semble guère se renouveler au fil des spectacles car on a ici comme la curieuse impression de revoir les poses tragico-christiques adoptées dans "Orphée et Eurydice", à tout le moins celles de l'amoureux éconduit avant même d'avoir tenté quoi que ce soit... Disons aussi qu'Eleonora Abbagnato ne l'aide guère, car en-dehors de la scène finale qui laisse apparaître une certaine sensualité propre à faire naître -enfin- une certaine émotion, elle m'a semblée bien trop froide et sérieuse pendant la plus grande partie du spectacle. Fort heureusement, la chorégraphie, en dépit de la relative médiocrité de ses interprétes principaux, demeure intouchable dans sa splendeur et son raffinement. Ajoutons d'ailleurs que le corps de ballet, qu'il s'agisse des quatre jardiniers qui évoluent au rythme d'un montage sonore composé de musiques électroniques ou des libertins du parc s'aimant au rythme de la musique de Mozart, est globalement excellent (et en effet, Alice Renavand, charmante et primesautière, campe ce petit rôle de séductrice avec un grand talent).
Si la chorégraphie de Preljocaj nous a procuré à nouveau un plaisir sans mélange lors de cette représentation, la déception face à l'interprétation donnée par Yann Bridard et Eleonora Abbagnato fait ressortir plus encore rétrospectivement la beauté et l'éclat de la prestation conjuguée de Laurent Hilaire et de Laetitia Pujol.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Dim Sep 25, 2005 8:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ceux qui n'auront pas la chance de voir "Le Parc", j'en recopie le découpage, tel qu'il est présenté sur la fiche de distribution, découpage qui permet d'admirer l'art de la composition -toute classique- du chorégraphe et les magnifiques subtilités lexicales des intitulés des différents tableaux qui constituent ce ballet.

Ouverture

Adagio de la Symphonie n°36 dite de "Linz"


Acte Premier

Les Jardiniers (Bande-son)

1- Les représentants des deux sexes s'observent
Adagio et fugue en ut mineur

2-Jeux d'approche
Danses allemandes

3-Rencontre
Andantino du Concerto pour piano n°14


Acte Deuxième

Les Jardiniers (Bande-son)

4-Tendres appas
Rondo de la Petite Musique de Nuit

5-Désirs
Andantino du Divertimento n°11 en ré majeur

6-Conquête
Presto de la Plaisanterie Musicale pour cordes et deux cors

7-Résistance
Andantino du Concerto pour piano n°15


Intermezzo

Adagio de la Symphonie n°36 dite de "Linz"


Acte Troisième

8-Rêve
Les Jardiniers (Bande-son)

9-Lamentation
Adagio extrait de l'Adagio et fugue pour cordes, d'après J.S. Bach

10-Ardeur
Allegro du Divertimento en si bémol majeur

11-Pâmoison
Adagio de la Sérénade "Haffner"

12-Abandon
Andante du Concerto pour piano n°23


Epilogue

Les Jardiniers (Bande-son)


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Mar Sep 27, 2005 5:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je pense qu'il en sera question dans une prochaine revue de presse, mais je signale ici la sortie du dernier numéro de Ballet2000 avec en couverture Laurent Hilaire dans "Le Parc". Il n'y est pas tant question de ce ballet que de la notion d'"étoile" (au masculin) qui y fait l'objet d'un dossier (de circonstance...).



Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Mer Sep 28, 2005 7:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Par le plus grand des hasards, Pierre Combescot, dit "Luc Décygnes", est allé voir non pas la première, mais la seconde distribution, et encense Eleonora Abbagnato et Yann Bridard tout en tirant à vue sur la chorégraphie de Preljocaj et les décors de Thierry Leproust :



Citation:
Abbagnato est la plus jolie créature qu'on puisse imaginer. Ah, le joli museau! Elle sait mettre de l'esprit là ou il n'y en a guère, sa danse va sans effort, coule de source. Elle transforme par sa seule présence les hideux décors de Monsieur Leproust. Elle n'est pas seule. Son partenaire la seconde brillamment dans cette tâche. Yann Bridard est un artiste [...]. Abbagnato et Bridard, un couple qui vaut bien le détour dans un parc sans grâce.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Jeu Sep 29, 2005 11:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

Un article élogieux dans Les Echos signé Philippe Noisette qui a vu "Le Parc" dans la première distribution, celle réunissant Laurent Hilaire et Laetitia Pujol.

Citation:
Au sommet de son élégance, Laurent Hilaire, qui créa ce rôle à l'origine, a des allures de Don Juan sûr - mais pour combien de temps encore ? - de ses charmes : face à lui, Laëtitia Pujol, nouvelle venue dans « Le Parc », trouve au fil des actes un supplément de sensualité bienvenu. Il faut la voir dans la scène du rêve portée par des danseurs-jardiniers, un défi à l'apesanteur lorsque l'étoile tourne sur elle-même comme dans un songe éveillé. Preljocaj s'amuse aussi, et nous avec, osant la confusion des sexes, filles et garçons en petits marquis, ou des interprètes d'un soir en robe à panier XL. Du sur-mesure pour la compagnie parisienne qui n'a jamais retrouvé cet état de grâce avec les autres pièces d'Angelin Preljocaj.

« Le Parc » recèle enfin un pur joyau dont le décor façon jardin à la française avec ciel changeant est un peu l'écrin : le dernier duo Pujol/Hilaire, tous deux en chemises blanches, comme tombés du lit. Elle lâche sa tête sur le torse de son amant, s'épuise au sol. Ils ne font plus qu'un seul corps, passion offerte aux yeux de tous. Laurent Hilaire la porte alors, elle accrochée à son cou, et tournoie avant de disparaître. On a rarement dit autant sur l'amour de la danse que dans cette étreinte absolue.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Jeu Sep 29, 2005 10:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur cette fameuse "Carte du Tendre" qui a inspiré A. Preljocaj pour ses galanteries façon Siècle des lumières, je signale cet excellent site réalisé par une équipe pédagogique de l'Académie de Rouen :

http://www.ac-rouen.fr/pedagogie/equipes/lettres/francais/tendre/tendre.html







Dernière édition par haydn le Ven Sep 30, 2005 5:35 pm; édité 1 fois
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Jonquille



Inscrit le: 22 Avr 2005
Messages: 1796

MessagePosté le: Ven Sep 30, 2005 4:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Juste quelques mots un peu tardifs sur la représentation de mardi 27. J'ai beaucoup aimé Laetitia Pujol qui, j'ai l'impression, prend vraiment son envol : beaucoup d'engagement et d'intensité de sa part. Je n'en dirais pas autant de son partenaire, Yann Bridard, qui ,comme beaucoup l'ont déjà fait remarqué ici, semble être toujours le même au gré des spectacles. Sa danse est solide mais peu émouvante.
Je découvrais le ballet ce soir-là et, si la chorégraphie qui accompagnait la musique de Mozart m'a semblé très belle et bien "dans le ton", j'ai moins aimé la musique électronique et les cages qui servaient de décors. En même temps les 4 jardiniers qui y évoluaient ont fait un très beau travail d'ensemble.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Ven Sep 30, 2005 4:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Personnellement, les créations électroacoustiques de Goran Vejvoda ne m'ont pas déplu, et globalement, j'ai apprécié le décor de Thierry Leproust. A chacun ses goûts, puisque Combescot, du Canard enchaîné, les avait trouvés laids lui aussi.


En ce qui concerne Laetitia Pujol, c'est une artiste sur laquelle j'étais plutôt réservé il, y a quelques années ; je trouvais sa danse agressive, et tournant très vite à une démonstration de technique un peu vaine. Je n'avais, pour ces raisons, que peu apprécié sa Kitri à la fin de la saison 2003-2004.

Depuis, j'ai complètement changé d'avis sur elle, et je suis persuadé aujourd'hui de l'avoir mal jugée. C'est son excellente et émouvante Giselle à Marseille qui m'a conduit a réviser ma position. A l'exception d'un ratage dans Etudes, sa saison 2004-2005 fut très bonne. Elle a curieusement été un peu étrillée par la critique après sa prestation en Aurore, qui pourtant était loin d'être indigne. Elle est revenue complètement transformée dans Hurlevent, de Belarbi, où ce n'était pourtant pas une mince affaire que de succéder à Marie-Agnès Gillot, et ce fut pour moi un très beau souvenir. Comme quoi, il faut toujours se méfier d'opinions trop définitives et péremptoires...


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Ven Sep 30, 2005 6:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Francesco Vantaggio remplacera Pascal Aubin dans Le Parc ce vendredi soir. Première représentation avec Aurélie Dupont.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Dansomanie Index du Forum -> Tout sur la danse Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Aller à la page Précédente  1, 2, 3, 4, 5  Suivante
Page 3 sur 5

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous pouvez voter dans les sondages de ce forum


Nous Contacter
Powered by phpBB © phpBB Group
Theme created by Vjacheslav Trushkin
Traduction par : phpBB-fr.com