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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005
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 Posté le: Lun Fév 12, 2007 2:40 pm Sujet du message: |
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Je viens de recevoir un courrier m'annonçant que le spectacle du 8 mars se déroulerait en trois parties :
- défilé du ballet
- remise des prix Dan David qui récompensent des "personnalités remarquables". Parmi les lauréats figurent Jacques Le Goff, Pascal Dusapin et Zubin Mehta. Les prix seront remis par Renaud Donnedieu de Vabres.
- ballet
Nous assisterons donc à une soirée de gala qui devrait se terminer à 23h...
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087
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| Posté le: Mer Fév 14, 2007 6:57 pm Sujet du message: |
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La captation télévisée du ballet de Roland Petit, évoquée plus haut, sera suivie d'une édition en DVD.
| Citation: |
ROLAND PETIT, DE RETOUR A L'OPERA DE PARIS
Après Carmen, Le Jeune Homme et la Mort, Notre Dame de Paris, L’Arlésienne, Clavigo… un 22ème ballet de Roland Petit entre au répertoire du Ballet de l’Opéra national de Paris.
Proust ou les intermittences du cœur sera interprété pour la première fois par les Etoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra national de Paris du 1er au 31 mars 2007 au Palais Garnier.
Inépuisable traducteur chorégraphique des grands textes littéraires, Roland Petit s’attache ici, après Goethe, Hugo ou Mérimée, à l’univers de Marcel Proust.
Les deux actes qui structurent le ballet reflètent l’atmosphère de A la recherche du Temps perdu et l’incessante oscillation que subit l’écrivain entre états de bonheur et états de malheur, ces « intermittences du cœur » que la chorégraphie retranscrit.
Cette nouvelle production bénéficiera de nouveaux décors de Bernard Michel et Luisa Spinatelli créera de nouveaux costumes. La partition, inspirée des compositeurs qu’affectionnait Marcel Proust, sera interprétée par l’Orchestre de l’Opéra national de Paris, sous la direction de Koen Kessels.
Une captation du spectacle sera réalisée pour une diffusion sur France 2 et une prochaine édition en DVD.
Source: www.operadeparis.fr |
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005
Messages: 3559
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| Posté le: Ven Fév 16, 2007 3:46 pm Sujet du message: |
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| Jonquille a écrit: |
Je viens de recevoir un courrier m'annonçant que le spectacle du 8 mars se déroulerait en trois parties :
- défilé du ballet
- remise des prix Dan David qui récompensent des "personnalités remarquables". Parmi les lauréats figurent Jacques Le Goff, Pascal Dusapin et Zubin Mehta. Les prix seront remis par Renaud Donnedieu de Vabres.
- ballet
Nous assisterons donc à une soirée de gala qui devrait se terminer à 23h... |
je viens de passer à Garnier et j'ai eu des places sans problèmes pour cette soirée. N'hésitez pas si vous avez raté le défilé de début de saison
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005
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| Posté le: Ven Fév 16, 2007 6:20 pm Sujet du message: |
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| Eh oui Paco cela semble incroyable mais il reste des places !
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005
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| Posté le: Ven Fév 16, 2007 6:50 pm Sujet du message: |
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| Je pensais que tout le monde allait se précipiter pour voir (ou revoir) le défilé...
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087
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| Posté le: Sam Fév 17, 2007 12:02 pm Sujet du message: |
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Sur le site de l'Opéra, le découpage du ballet:
http://www.operadeparis.fr/Saison0607/Alire.asp?Id=996
| Citation: |
Argument
Première partie
Quelques images des paradis proustiens
Tableau I. « Faire clan » ou l’image du snobisme offensif selon Proust.
Il s’agit du clan Verdurin et de sa Patronne. Son clan ? Des non-nobles, des non-nés qui, sous couvert de non-snobisme, qualifient les mondains « d’ennuyeux », alors qu’ils sont aussi snobs qu’eux. En vérité, Madame Verdurin rêve de ce qu’affecte de mépriser cette duchesse de Guermantes chez qui tous les hommes du clan voudraient être reçus, à laquelle toutes les amies de la Patronne souhaiteraient ressembler. Madame Verdurin parviendra à ses fins. Un mariage avec le prince de Guermantes couronnera cette splendide carrière parisienne.
Dans ce tableau, nous assistons à la multiplication de « l’idée-Duchesse-de-Guermantes » dans l’esprit des membres du clan.
Tableau II. «La petite phrase de Vinteuil » ou la musique des amours.
Dans la passion de Swann pour Odette, une sonate – qu’ils ont entendue ensemble au premier temps de leur amour – joue un rôle déterminant. Quelques mesures seulement – qu’ils appellent « la petite phrase » - deviennent entre eux comme un leitmotiv si puissant qu’il prend aussitôt presque autant d’importance que les amants eux-mêmes. C’est « l’air national de leur amour » nous dit Proust.
Dans ce tableau, nous assistons à une interprétation de la sonate telle que l’a décrite Proust. Le danseur personnifie le violon, la danseuse le piano.
Tableau III. «Les aubépines » ou les mots-fées.
Il y a chez Proust des mots qui portent en eux tant d’exaltation qu’ils sont à eux seuls toute une histoire. Ainsi le mot Aubépine. C’est aux aubépines qu’il dit adieu, enfant, à l’instant où il lui faut quitter la campagne. C’est parmi les aubépines qu’il entr’aperçoit pour la première fois « une fillette d’un blond roux » dont il tombe éperdument amoureux. Il reste devant un chef d’oeuvre. Il fait un écran de ses mains pour n’avoir qu’elle sous les yeux.
Dans ce tableau nous assistons à l’apparition de Gilberte parmi les aubépines.
Tableau IV. «Faire catleya » ou les métaphores de la passion.
Le premier soir où Swann monte en voiture avec celle qui deviendra sa maîtresse, Odette porte à la main un bouquet de catleyas et encore d’autres catleyas « enfoncés dans l’ouverture de son corsage décolleté ». Il la posséda ce soir-là en commençant, sous prétexte de ne pas les froisser, par arranger les catleyas. Par la suite, il y eut dans leur conversation la phrase « faire catleya » qui eut pour eux seuls, sa véritable signification.
Dans ce tableau nous assistons aux prémices de la passion de Swann pour Odette.
Tableau V. « Les jeunes filles en fleurs » ou les vacances enchantées.
Face aux jeunes filles le narrateur croit se trouver devant un paradis de pureté, de fraîcheur. Il observe, fasciné, leur va-et-vient sur la plage. Il ne pourra plus concevoir de vacances sans elles.
Ce tableau n’est rien d’autre qu’une image de ces jeunes filles en robes blanches qui fascinaient Marcel Proust.
Tableau VI. Albertine et Andrée ou la prison et les doutes.
Ce que le narrateur a pris pour un paradis de pureté, de fraîcheur, ces jeunes filles en fleurs qui le fascinent ne sont-elles, à l’image du monde des adultes, que mensonges et faux-semblants, cachant toutes sortes de gestes impudiques et de désirs équivoques ? Dans ce tableau nous assistons à ce qui va ôter à l’amoureux des jeunes filles ses dernières illusions. Il voit « Albertine et Andrée qui valsaient lentement serrées l’une contre l’autre ». Mais jusqu’au bout il voudra douter de l’impureté de ses amis.
Tableau VII. « La regarder dormir » ou la réalité ennemie.
Il s’agit d’Albertine, cette jeune fille dont le narrateur a fait sa prisonnière. Il l’enferme chez lui pour l’arracher à ses amies, à son passé. Mais rien ne met un terme à la jalousie qu’il éprouve pas plus qu’aux doutes qu’elle suscite. Il ne peut l’aimer qu’endormie. Dans ce tableau nous voyons l’amant et sa captive. Il l’interroge, il l’espionne jusque dans son sommeil. Et rien ne fait taire sa jalousie. La belle endormie disparaît comme dans des sables mouvants.
Deuxième partie
Quelques images de l’enfer proustien
Tableau VIII. Monsieur de Charlus face à l’insaisissable.
Le violoniste Morel est ce jeune artiste devenu l’idole de Monsieur de Charlus. Le vieux gentilhomme qui n’est qu’une formidable imposture, cachant du mieux qu’il peut la horde de ses démons intérieurs, perd toute retenue. En la personne de Morel, Charlus croit avoir rencontré l’archange face auquel il pourra enfin être lui-même. Or Morel n’est rien de tout cela. C’est un homme du peuple qui vit libre des interdits qui étouffent Monsieur de Charlus et les siens. Face à Charlus, Morel demeure l’insaisissable.
Ce tableau symbolise les moments exaltants que Monsieur de Charlus éprouve pour le violoniste Morel, il rêve de lui, célèbre et adulé.
Tableau IX. Monsieur de Charlus vaincu par l’impossible.
Ce sont les terribles visions de la liberté de Morel dans le vice, la découverte de son idole, de celui qu’il prenait pour un archange, faisant commerce de son corps, qui auront raison de Monsieur de Charlus. Il voit enfin Morel sous son vrai jour, il est « devant l’impossible ».
Ce tableau montre l’instant ou Monsieur de Charlus surprend Morel parmi les femmes dans la maison de plaisir de Mainville.
Tableau X. Les enfers de Monsieur de Charlus.
Le narrateur en quête d’aventure erre dans Paris. La guerre de 1914 fait rage et les gothas lancent des bombes sur la ville. Parce qu’il voit des soldats entrer dans un petit hôtel obscur, il y entre à son tour. Et là …
Le tableau reproduit la scène célèbre où le narrateur, stupéfait, surprend, dans un hôtel borgne, Monsieur de Charlus flagellé par un des employés de la maison.
Tableau XI. « Rencontre fortuite dans l’inconnu ».
Certaines pages dans le Temps retrouvé sont une ode à la nuit trouble d’une ville que la guerre plonge dans l’obscurité, à Paris dans le noir, avec tout ce que cela apportait de tentations inconnues aux habitants infernaux de cette Pompéi, éternels quêteurs de plaisirs interdits.
Dans ce tableau, des êtres tâtonnent dans le noir à la recherche les uns des autres. Et l’obscurité, au lieu de les rendre inatteignables l’un à l’autre, les délivre de leurs timidités et leur apporte « un surcroît de bonheur ». Ce sont « comme des rites secrets dans les ténèbres des catacombes ».
Tableau XII. Morel et Saint-Loup ou le combat des anges.
« Blond, doré, intelligent, doué de tous les prestiges », le jeune Saint-Loup est le symbole du courage et de la beauté masculine. C’est un être que l’homosexualité, le sadisme, tous les vices de Charlus et de Morel semblent avoir épargné. « A-t-il fait assez de folies pour ses maîtresses ! » dit-on en parlant de lui. Et pourtant…
Ce tableau représente Saint Loup, l’archange de blancheur, le héros, portant la double auréole de ses succès féminins et de son courage à la guerre, affrontant Morel, l’ange noir, qui, à force de « ruses diaboliques », réussit à l’entrainer dans le vice. Saint Loup sera tué le lendemain de son retour au front.
Tableau XIII. « Cette idée de la mort… » où le monde apparaît au narrateur comme derrière « une porte funéraire ».
La guerre, comme une sanglante liturgie, donne le signal de l’effondrement du monde miroitant et superbe de la duchesse de Guermantes. Dans sa disparition, le narrateur voit le signe de sa propre mort. Toutes les fêtes ne sont plus pour lui que bals noirs.
Dans ce tableau, le narrateur se trouve face à face avec la femme qu’il a le plus admirée au long de sa vie. Il sollicite en vain les souvenirs du passé. Il ne retrouve en la Duchesse de Guermantes que « la contemplatrice de la mondanité ». L’idée que cette femme est une image de sa mort, s’installe dans l’esprit du narrateur. |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087
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| Posté le: Mar Fév 20, 2007 11:44 pm Sujet du message: |
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En attendant le détail des distributions jour par jour, voici les dates de Manuel Legris:
Il interprétera le rôle de Charlus les 1, 4, 8, 12, 15, 16, 19, 24, 28 et 30 mars,
et le rôle du Narrateur dans le Pas de deux de la Prisonnière les 7, 9, 13, 21 et 26 Mars, Pas de deux qu'il dansera aux côtés d'Isabelle Ciaravola (Albertine).
Source: www.manuel-legris.com
Il figurera donc sur le film (enregistré, comme annoncé précédemment, les 12, 15, 19 mars) dans le rôle de Charlus aux côtés, je suppose, d'Eleonora Abbagnato (Albertine), tandis que le Pas de deux de la Prisonnière serait dansé par cette dernière et Hervé Moreau.
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Pierre
Inscrit le: 31 Déc 2003
Messages: 982
Localisation: Paris
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| Posté le: Dim Fév 25, 2007 12:42 pm Sujet du message: |
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| Entretien de Roland Petit dans l'édition "fin de semaine" du Figaro avec une belle photo de MM Pech, Ganio, Moreau, Abbagnato, Legris, Petit.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087
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haydn
Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517
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| Posté le: Dim Fév 25, 2007 3:02 pm Sujet du message: |
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Les distributions par dates, sous toutes réserves :
01/03
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Grinsztajn
Swann : Renaud
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : Dursort
04/03 (14h30)
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Granier
Swann : Bouché
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : J. Martel
07/03
Albertine : Ciaravola
Morel : Bullion
Saint-Loup : Moreau
Proust : Legris
Charlus : Valastro
Andrée : Granier
Odette : Grinsztajn
Swann : Renaud
La Duchesse : B. Martel
Pas de deux en blanc : Froustey + Saïz
Gilberte : Lévy
Une Topless : Dursort
08/03 + défilé
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Grinsztajn
Swann : Renaud
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : Dursort
09/03
Albertine : Ciaravola
Morel : Bullion
Saint-Loup : Moreau
Proust : Legris
Charlus : Houette
Andrée : Granier
Odette : Gernez
Swann : Bouché
La Duchesse : B. Martel
Pas de deux en blanc : Froustey + Saïz
Gilberte : Lévy
Une Topless : J. Martel
12/03
Albertine : Ciaravola
Morel : Bullion
Saint-Loup : Moreau
Proust : Legris
Charlus : Valastro
Andrée : Granier
Odette : Gernez
Swann : Bouché
La Duchesse : B. Martel
Pas de deux en blanc : Froustey + Saïz
Gilberte : Lévy
Une Topless : J. Martel
13/03
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Grinsztajn
Swann : Renaud
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : Dursort
15/03
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Grinsztajn
Swann : Renaud
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : Dursort
16/03 18h30, soirée réservée, bal de l'X
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Grinsztajn
Swann : Renaud
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : Dursort
19/03
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Granier
Swann : Bouché
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
21/03
Albertine : Ciaravola
Morel : Bullion
Saint-Loup : Moreau
Proust : Legris
Charlus : Houette
Andrée : Granier
Odette : Grinsztajn
Swann : Renaud
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Froustey + Saïz
Gilberte : Lévy
Une Topless : Dursort
24/03
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Granier
Swann : Bouché
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : J. Martel
26/03
Albertine : Ciaravola
Morel : Bullion
Saint-Loup : Moreau
Proust : Legris
Charlus : Valastro
Andrée : Granier
Odette : Grinsztajn
Swann : Renaud
La Duchesse : B. Martel
Pas de deux en blanc : Froustey + Saïz
Gilberte : Lévy
Une Topless : Dursort
28/03
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Granier
Swann : Bouché
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : J. Martel
31/03
Albertine : Abbagnato
Morel : Pech
Saint-Loup : Ganio
Proust : Moreau
Charlus : Legris
Andrée : Bance
Odette : Granier
Swann : Bouché
La Duchesse : Romberg
Pas de deux en blanc : Hecquet + Duquenne
Gilberte : Froustey
Une Topless : J. Martel
Dernière édition par haydn le Mar Fév 27, 2007 1:26 pm; édité 1 fois |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087
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F. de l'O.
Inscrit le: 31 Mai 2006
Messages: 38
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| Posté le: Lun Fév 26, 2007 4:10 am Sujet du message: |
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Vous avez raison, Sophia. Topless n'est pas proustien. Je viens de le vérifier à l'instant, dans l'Index des noms de personnes figurant à la fin du volume IV de l'édition Tadié.
Rien, page 1631, entre « Tolstoï Léon, (1828-1910), écrivain russe » et « Tornabuoni Giovanna, dates inconnues », si ce n'est « Toot Lawrence » -d'ailleurs disparu de la version finale.
| Citation: |
| En attendant, pour ceux qui peuvent, le Pas de deux de La Prisonnière... |
"Pour ceux qui peuvent" ? -endurer 9' de Roland Petit ?...
[Laurence, un salut à la manière de Saint-Loup au départ de Doncières (vol. II, 436-437) !  -"private joke", en passant vite.]
PS : Pas de Topless le 19/03 ?? -"Mademoiselle, allez vous rhabiller!" ?... 
Dernière édition par F. de l'O. le Mer Mar 28, 2007 6:59 pm; édité 1 fois |
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laurence
Inscrit le: 16 Juin 2006
Messages: 430
Localisation: Paris
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| Posté le: Lun Fév 26, 2007 5:13 am Sujet du message: |
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| Mais le sourire d'Abagnato n'est ce pas le top!
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Silk
Inscrit le: 01 Déc 2006
Messages: 165
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| Posté le: Lun Fév 26, 2007 7:50 pm Sujet du message: |
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| Pour les deux premières représentations ( 1er et 4 Mars ), dans le rôle de "Morel", Benjamin PECH est remplaçé par Stéphane BULLION.
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Pas sûre que ce soit très proustien...