Dansomanie Index du Forum
Connexion S'enregistrer FAQ Liste des Membres Rechercher Dansomanie Index du Forum

La Bayadère [ONP, 17 mai - 2 juin 2010]
Aller à la page Précédente  1, 2, 3 ... 16, 17, 18 ... 25, 26, 27  Suivante
 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Dansomanie Index du Forum -> Tout sur la danse
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Aurélie



Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 1324
Localisation: Paris

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 12:35 am    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai adoré voir ce ballet à Garnier! Rien à voir avec l'ennui glacé que m'avait procuré ma première Bayadère "live" il y a quelques années à Bastille. Là, on peut voir de près les costumes scintillants et la poussière d'or qui se répand derrière l'Idole dorée!

Sinon, je ne peux que comparer à l'enregistrement DVD que je connais par coeur, et je trouve que malheureusement, les accents musicaux ont disparu. Tout paraît manquer de repères, et la chorégraphie perd beaucoup de sa saveur.

Sinon, très bonne soirée, j'ai particulièrement apprécié la Gamzatti d'Emilie Cozette, la deuxième ombre de Mélanie Hurel et j'ai trouvé excellentes les petites filles de la danse Manou! (et la grande aussi!).


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22166

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 10:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

Deuxième Bayadère pour moi, et des impressions qui rejoignent globalement et dans le détail le post d'Arabella. Cette représentation n'offrait pas a priori la distribution la plus excitante sur le papier, mais l'on a parfois de bonnes surprises, en rapport avec des attentes disons... mesurées. C'est propre, c'est bien assuré techniquement parlant, mais sans flamme ni panache particuliers. Et c'est vrai, dans l'absolu, quand on a vu des dizaines de fois un ballet, on est sans doute en droit d'attendre autre chose que de la propreté et de l'excellence d'école... On se heurte ici surtout, à mon sens, à deux problèmes d'emploi manifestes pour les deux rôles principaux. Résultat des courses : Emilie Cozette domine la soirée, dans un rôle qu'elle assume de bout en bout avec force et conviction. Il n'y a pas d'effet de sidération, n'exagérons rien, mais elle donne simplement envie... Envie de la regarder évoluer, de la suivre dans ce qu'elle raconte, et c'est bien ce que l'on demande d'abord à une étoile... Enfin le passage à l'acte, a-t-on envie de dire, au propre comme au figuré...

Dans le détail, ça donne :

Clairemarie Osta possède des qualités qui faisaient plutôt défaut à Agnès Letestu lors de la première : le lyrisme d'abord, une fragilité toute spirituelle ensuite, et un jeu sensible, souvent juste dans les moments dramatiques, et que je trouve personnellement beaucoup moins artificiel et mécanique que celui de sa collègue. Par ailleurs, même si elle n'a pas exactement « la ligne Nikiya » idéale, elle présente un travail de bras et du haut du corps plus aéré, moins sec, ce qui n'est pas dommageable, disons-le, pour incarner le rôle d'une danseuse sacrée indienne. Ne serait-ce que pour ce moelleux, cette évanescence, j'ai davantage de plaisir à la voir danser, comme j'en ai eu aussi davantage à voir cette distribution « modeste » que celle de la première... Ses qualités ont toutefois leur revers ici : elle joue essentiellement sur la sensibilité attachée au personnage et sur la tragédie portée par l'intrigue, mais il manque la force et l'autorité dans les confrontations, que ce soit avec le Brahmane, qu'elle semble à peine repousser dans la première scène, ou avec Gamzatti, qui ne fait vraiment qu'une bouchée d'elle à la fin du premier acte. Le couple qu'elle forme avec Karl Paquette n'est pas non plus très passionné, et les échanges apparaissent plus tendres que fougueux... Au fond, Clairemarie Osta s'attache surtout dans son interprétation à rendre la souffrance de Nikiya, accablée par le destin, ce dont témoigne en particulier la variation du Serpent, très martyro-mélodramatique, mais qu'on aurait aimée aussi un tantinet plus sensuelle... Le troisième acte révèle d'autres limites, d'ordre plutôt stylistique : on était venu voir La Bayadère, l'un des sommets du ballet impérial, et l'on croirait parfois à quelque réminiscence de la Giselle romantique... Si cette Nikiya se présente bien, dramatiquement parlant, comme l'ombre diaphane d'une fiancée morte d'amour, l'ampleur et tout simplement la grandeur - celle du style - sont singulièrement absentes de sa danse...

De son côté, Karl Paquette n'est pas non plus pleinement satisfaisant dans le rôle du guerrier indien, mais sans doute ni plus ni moins que José Martinez. Ce n'est pas là une question de physique – blond, brun, grand, petit, qu'importe le flacon... - mais de tempérament. Le rôle exige une fougue, une rugosité, une noblesse un peu barbare, et dans les deux cas, on se retrouve face à un héros soit trop princier, trop distant, soit trop humain, trop gentil. Ces considérations mises à part, Karl Paquette, plutôt plus en forme que son collègue, a assuré le rôle avec les qualités qu'on lui connaît : pas de grandes prouesses pyrotechniques certes, mais de l'ampleur dans le mouvement, des variations correctement enlevées, sans plus, et un partenariat sûr, attentif, à défaut d'être vraiment passionné et investi.

Emilie Cozette est finalement la grande triomphatrice de la soirée. On pourra toujours déplorer son travail tout en force, sa saltation un peu poussive, l'essentiel est là, l'accomplissement dramatique, en plus du brio technique, dans un rôle qui réclame d'être étourdissant. Elle incarne une princesse fière et arrogante, bafouée dans son honneur, loin de la diablesse de service, caricaturalement méchante qu'on croit parfois voir dans cette héroïne. Elle ne verse pas non plus dans l'hystérie des bourgeoises mégères non apprivoisées, conservant un maintien et une retenue tout aristocratiques dans l'affrontement avec Nikiya, dont on peut simplement regretter qu'il n'advienne pas vraiment dans cette distribution. Le décalage est en effet trop grand entre cette Gamzatti, impérieuse et impériale, et une Nikiya qui lui est d'emblée soumise.

En vrac, dans les seconds rôles :

Les rôles de pantomime semblent souvent les laissés pour compte des productions Noureev à l'Opéra et La Baya de Paris n'y échappe pas... Ici, c'est notamment le rôle du Rajah qui trinque, avec un Stéphane Phavorin, acteur pourtant merveilleux (le seul de la compagnie?), un peu trop désinvolte et goguenard pour être honnête... Faute de coaching adéquat, cette badinerie générale transparaît aussi dans la présence en scène du corps de ballet masculin, livré à lui-même et à son inspiration dès le deuxième tableau : on trinque gentiment, on se donne l'accolade sans plus de façons, mais toutes ces amabilités font quand même plus rallye mondain à l'Automobile-Club que réception officielle au Palais de Golconde... En tout cas, l'effet n'est pas très théâtral et de manière générale, ces ensembles, destinés à planter le décor, manquent sérieusement de consistance... De ce point de vue, on ne peut que louer Allister Madin de se donner, à peu près seul, aussi entièrement et sauvagement dans le rôle (ingrat?) du Fakir, en dépit d'un maquillage étrange... et plutôt salissant pour le tapis qui recouvre la scène...

Dans l'Idole dorée, Mathias Heymann m'a paru beaucoup plus à l'aise - disons moins en force - qu'à la première et à la générale, malgré une tension persistante au niveau du dos et du cou. Il est vrai que le rôle est terrible - un déni à toutes formes de doute et d'incertitude. C'est beau, très beau, dans l'absolu comme dans le relatif, spectaculaire avec mesure, mais désolée, le frisson – le « miracle » - n'est pas là, comme il l'était avec Thibault, complètement irréel jadis dans ce morceau de bravoure qui nous faisait aller voir La Baya rien que pour lui. Dans le registre du show hyper-démonstratif, Sabrina Mallem offre une Danseuse Indienne puissante et agréablement enjouée. Jolie prestation également de Pauline Verdusen et de ses jeunes comparses dans la Manou. Quelques danseuses se détachent franchement dans le Pas d'action, jusqu'au sourire, aussi agréable que bienvenu, qu'elles étrennent (mais apparemment pas universellement partagé...) : Melles Dayanova et Bourdon, Froustey et Giezendanner (remarquable aussi dans la Djampo). Dans les Ombres enfin, vues et revues - dans tous les styles et à tous les tempi -, il nous en faudra sans doute un peu plus pour être épatée que l'excellence appliquée du trio Pagliero/Hurel/Boulet, au sein duquel se distingue quand même, et sur tous les plans, Melle Hurel, grâce à une danse allègre et stylée qui sait vivre par le corps tout entier et non par les pieds seuls.

En conclusion, malgré les réserves et critiques d'usage, une bonne soirée, passée avec un ballet d'une inépuisable richesse chorégraphique, et dont franchement on n'arrive pas à se lasser... J'ajouterais que si l'on peut déplorer les éclairages étranges à dominante verdâtre (pas toujours du meilleur effet) qui nimbent cette Bayadère, le retour – pas évident - à Garnier contribue quand même à redonner un semblant d'humanité à la super-production noureevienne. Pour l'instant, le corps de ballet, bien sans être transcendantal, assure avec succès le spectacle de sorte que son clinquant et ses paillettes ne nous submergent pas de trop.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
arabella4ever



Inscrit le: 19 Juin 2007
Messages: 82

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 11:18 am    Sujet du message: Répondre en citant

vous avez detaille ma pensee sophia!
Sinon personne ne trouve que stephane phavorin en rajah ressemble a iznogoud? Laughing


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 11:59 am    Sujet du message: Répondre en citant

Non, je n'y avais pas pensé, je regarderai mieux la prochaine fois Laughing !
Par contre, Sophia mentionne le sol utilisé lors de cette série : ça peut paraître un détail, mais c'est vrai que je n'ai jamais vu de sol plus sale et plus laid lors d'une production classique. Les traces laissées par les maquillages du fakir et de ses acolytes font vraiment tache pour la suite du premier acte, censé se dérouler dans un environnement un peu moins négligé... Le choix d'un sol aussi clair me paraît vraiment difficile à comprendre !


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26671

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 12:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne me souviens plus si le sol était aussi clair à l'Opéra Bastille, je n'avais pas remarqué les taches de cette façon.

Ces traces proviennent comme le dit Nabucco du maquillage intégral dont sont affublés les Fakirs. Cela dit, ce maquillage est d'un effet bien plus joli que les combinaisons utilisées au Mariinsky par exemple.

Le problème c'est que les résidus de maquillage laissés par les Fakirs transforment la scène en vraie savonnette, et rendent l'entrée de Nikiya passablement périlleuse lors de la variation dite "de la cruche". Il est possible - mais ce n'est qu'une hypothèse personnelle - qu'on ait privilégié la sécurité au détriment de l'esthétique. En effet, sur le sol clair, lesdites traces sont très apparentes et la danseuse peut ainsi éviter les zones glissantes, alors que sur un balatum noir, elles ne seraient pratiquement pas visibles, d'où des risques de chute accrus.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Swann



Inscrit le: 24 Mar 2007
Messages: 193

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 1:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il me semble que Claire-Marie Osta aurait mieux fonctionné avec Jérémie Bélingard, avec un contraste entre la fragilité et la délicatesse de l'une et le côté plus guerrier de l'autre. Malheureusement, je ne verrai pas cette distribution.
Elle a pâti aussi du détestable violon solo, qui en prolongeant une de ses variations (je ne sais plus laquelle) par un concert de fausses notes a laissé injustement une impression ratée de l'ensemble.
Sinon, vous parlez souvent de l'excellence technique, mais peut-être suis-je de plus en plus difficile, j'ai quand même vu quelques ratés notamment la 2ème partie de la 1ère ombre assez poussive (quand on voit la perfection d'Agnès Letestu dans ce même rôle, c'est autre chose...).

Ceci étant dit, cette Bayadère nous fait passer une très bonne soirée, avec des ensembles exceptionnellement originaux, variés et de qualité.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26671

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 2:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le solo de violon du 3ème acte n'était en effet pas extraordinaire, loin s'en faut, mais tout de même bien meilleur hier que lors de la première. Idem pour les cuivres, qui hier étaient justes, ce qui n'était pas le cas lundi. De manière générale, je trouve que l'orchestre Colonne s'est plutôt bien comporté.

Ce qui m'a un peu gêné avec Clairemarie Osta, c'est qu'elle était totalement dominée sur le plan dramatique par Emilie Cozette. Dans les scènes d'affrontement, Nikiya n'opposait aucune résistance aux injonctions furieuses de Gamzatti, et semblait résignée sans même avoir livré bataille. Et dans la variation du Serpent, elle paraissait d'emblée affligée et résignée à la mort, alors que le reptile ne l'avait pas encore mordue.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
maraxan



Inscrit le: 24 Nov 2006
Messages: 600

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 3:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:


Ce qui m'a un peu gêné avec Clairemarie Osta, c'est qu'elle était totalement dominée sur le plan dramatique par Emilie Cozette. Dans les scènes d'affrontement, Nikiya n'opposait aucune résistance aux injonctions furieuses de Gamzatti, et semblait résignée sans même avoir livré bataille. Et dans la variation du Serpent, elle paraissait d'emblée affligée et résignée à la mort, alors que le reptile ne l'avait pas encore mordue.


Un peu de romantisme Haydn, Nikiya aime Solor et sait qu'il va épouser Gamzatti, elle est désespée : les boules de devoir danser pour les fiançailles de celui qu'on aime! Smile

Personnellement, je préfère Agnès Letestu dans cette variation car je trouve qu'elle fait passer quelquechose de touchant, profondément noir et violent qui vient de l'intérieur, mais Clairemarie Osta est très émouvante. Aurélie Dupont, on voit bien qu'il faut le serpent pour la tuer car sans ça, elle n'a aucune fragilité...
Sur les trois représentations, j'avoue quand même pour l'ensemble du rôle que Clairemarie Osta, même avec une interprétation très peu en relief est le bon compromis entre la tragédienne Agnès Letestu et la technicienne Aurélie Dupont... Pour l'instant, je rêve quand même de Nicolas Le Riche comme Solor de toutes ses dames car José Martinez et Karl Paquette n'ont pas fait vraiment preuve d'un grand intérêt, ni pour Nikiya, ni pour Gamzatti. Nicolas Le Riche, lui il aimait follement les deux, il y aurait sans doute de la place pour quelques autres... Laughing


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
LucyOnTheMoon



Inscrit le: 18 Nov 2008
Messages: 984

MessagePosté le: Jeu Mai 20, 2010 11:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
Le solo de violon du 3ème acte n'était en effet pas extraordinaire, loin s'en faut


Ce soir, c'était limite catastrophique Wink Globalement la musique est sans doute ce que j'ai le moins aimé : ça ne "collait" tellement pas avec le reste ! sans aller jusqu'à une partition de musique traditionnelle indienne, ça aurait été bien d'avoir quelque chose qui fasse un tout petit peu couleur locale Confused
Sinon j'ai été pluôt agréablement surprise : mise en scène kitschissime mais pas mièvre, des danseurs très énergiques au 2e acte, Solor-Le Riche qui malheureusement n'a pas grand chose à faire, mais ce qu'il a à faire, il le fait plus que bien, Gilbert très classe, Dupont assez émouvante (alors qu'en général elle ne me fait pas ressentir grand chose dans ses rôles), les deux petites danseuses accompagnant Froustey chipies à souhait... Mais bon, c'est vrai que le beau rôle, c'est quand même pour les décors et les costumes Laughing Allez, il fallait le voir au moins une fois, c'est fait Smile


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
Malixia



Inscrit le: 28 Jan 2008
Messages: 375

MessagePosté le: Ven Mai 21, 2010 12:19 am    Sujet du message: Répondre en citant

Serait-il possible de poster les danseuses distribuées dans le pas de quatre ? Je suppose qu'elles sont mentionnées sur les feuilles de distribution mais malheureusement, pas sur le site de l'Opéra...
Et merci pour tous ces compte-rendus, qui font rêver en attendant de pouvoir voir de ses yeux voir =)


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
mathis



Inscrit le: 11 Déc 2009
Messages: 76

MessagePosté le: Ven Mai 21, 2010 12:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

Les feuilles de distribution ne sont pas forcément 100% fiables.

Pour le 17, le pas d'action aurait été dansé par Mlles Boulet, Bourdon, Dayanova et Legassy

Pour le 18, la feuille indique : Bourdon, Mallem, Boucaud et Legassy, mais j'ai cru y voir Mlle Froustey.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Jonquille



Inscrit le: 22 Avr 2005
Messages: 1890

MessagePosté le: Ven Mai 21, 2010 12:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ce soir c'était bien Dayanova, Mallem, Gorse et Hasboun.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22166

MessagePosté le: Ven Mai 21, 2010 8:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pour le 17, j'ajoute à Mathis :

Pas de quatre (dit "des petites" ou des "bleus") : Charline Giezendanner, Myriam Kamionka, Lucie Clément, Daphnée Gestin


Pour le 19 :

Petites : Mathilde Froustey, Charline Giezendanner, Myriam Kamionka, Leïla Dilhac
Grandes (ou"vertes") : Marie-Solène Boulet, Héloïse Bourdon, Sarah Kora Dayanova, Vanessa Legassy


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
masha



Inscrit le: 08 Juil 2009
Messages: 162

MessagePosté le: Ven Mai 21, 2010 8:39 am    Sujet du message: Répondre en citant

je crois que Mathilde Froustey dansait avec les "petites" le 18 aux côtés de Pauline Verdusen, Aubane Philbert et Lucie Clément.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Malixia



Inscrit le: 28 Jan 2008
Messages: 375

MessagePosté le: Ven Mai 21, 2010 9:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

Merci beaucoup Very Happy


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Dansomanie Index du Forum -> Tout sur la danse Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Aller à la page Précédente  1, 2, 3 ... 16, 17, 18 ... 25, 26, 27  Suivante
Page 17 sur 27

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous pouvez voter dans les sondages de ce forum


Nous Contacter
Powered by phpBB © phpBB Group
Theme created by Vjacheslav Trushkin
Traduction par : phpBB-fr.com